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François d’Haene et Nutrisens Sport créent une nouvelle boisson

Nouvelle boisson Nutrisens Sport. Conçue et créée en collaboration avec François d’Haene, la boisson Naturium est dédiée aux efforts « longs » à partir de plus de 3h. 2 saveurs dont une salée au poulet-curry est notamment dédiée aux ultras-trails et ultras-distances ce qui pemret d’éviter la lassitude du sucré pendant l’effort.   Les plus : boisson isotonique pour maintenir l’hydratation de l’organisme contribue à réduire la fatigue protège les cellules contre le stress oxydatif évite les pics de glycémie   Disponible dans vos magasins Terre de running.

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Nutrition de la récupération, nos conseils

Au cours de cette année, nous avons abordé plusieurs sujets en matière de nutrition, et particulièrement les différentes étapes qui font la performance de chacun, de la préparation à la compétition elle même. Après avoir vu la nutrition en course et proposé des solution à la question de la chaleur, la boucle ne serait pas bouclée si l’on évitait le sujet clef de la préparation physique : la récupération. L’effort détermine l’adaptation Avant toute chose, il faut bien comprendre que l’effort est le principal déterminant de l’adaptation physique. C’est en effet, le type d’exercice qui détermine en premier l’expression des gènes. La nutrition n’intervient qu’après, et de manière assez limitée. En d’autres termes, avoir un entraînement exclusivement basé sur des séances de course à pieds stimulera les gènes permettant les efforts d’endurance, alors qu’un entraînement à base de séances de force favorisera davantage la prise de masse musculaire. En effet, la pratique de l’endurance stimule l’expression du gène AMPK, c’est à dire la production de mitochondrie, soit l’organe intracellulaire permettant d’oxyder (brûler) les substrats pour produire de l’ATP (l’énergie). En revanche, la pratique d’un exercice de force stimule l’expression du gène mTOR, responsable de la production de protéines contractiles… c’est à dire permettant l’augmentation du volume de la fibre musculaire, et donc sa force de contraction. Pour finir notre explication, il est important d’ajouter que la stimulation de AMPK exerce un effet inhibiteur sur l’expression de mTOR. Pour résumer, la pratique de l’endurance vous empêchera de prendre de la masse musculaire… ce qui vous permettra de retirer de grands bénéfices d’une séance de musculation en complément de votre programme de coureur à pieds (amélioration du geste, économie de course, puissance…). Mais laissons ce thème à maître Balducci, tellement plus compétent sur le sujet. La boisson de récupération, outil d’entraînement J’avais besoin de situer ce paramètre pour vous inciter à la prudence quant au marketing un peu racoleur que l’on peut rencontrer sur certaines boîtes. Un complément « spécial prise de masse » par exemple, est une promesse intenable sans la séance idoine de musculation. Par contre, une boisson de récupération « spécial trail » prise à l’occasion de vos séances de renforcement musculaire pourrait bien vous aider à prendre du muscle si vous oublier d’aller courir avant ou après. Ceci dit, le contenu micronutritionnel de la ration de récupération peut influencer positivement ou négativement l’adaptation de votre organisme. Consommer de l’alcool après un entraînement serait par exemple un frein puissant à l’adaptation, car celui-ci inhibe la synthèse du glycogène, et favorise la lipogenèse, au lieu de favoriser l’entrée des acides aminés dans les cellules musculaires. Au contraire, choisir une ration contenant les micronutriments nécessaires à la récupération, sous une forme biodisponible et digeste, permettrait authentiquement de rentabiliser une séance de qualité. On peut clairement affirmer qu’une bonne boisson de récupération serait un excellent outil d’entraînement, car elle permet à la fois de réhydrater l’organisme, et d’apporter les nutriments de la récupération. Quelles pertes ? Si l’on entend faire le bilan des pertes provoquées par un effort, il faudra aller au bout de la réflexion. On ne peut en effet résumer la question à l’eau, au sodium, aux glucides et aux protéines… même si ces quatre éléments doivent forcément apparaître au « menu ». Les pertes provoquées par un effort d’endurance vont plus loin. Dans les différentes études publiées sur la question, on peut voir mentionnés les effets suivants : – pertes hydriques – diminution ou vidange des réserves de glycogène musculaire – pertes minérales (sodium, mais aussi potassium, magnésium… voire calcium) – surconsommation de vitamine C – surconsommation de vitamines B – surconsommation de certains acides aminés (glutamine, acides aminés branchés…) – augmentation de la production de médiateurs pro-inflammatoires. Il sera donc plus cohérent de chercher à répondre à chacune de ces pertes par un apport correspondant. Une formule de qualité devra donc autant que possible contenir une liste assez complète de ces nutriments, à commencer par les protéines et glucides, dont l’apport sera le plus important en proportion au reste. On comptera environ 4 fois plus de glucides que de protéines, afin de garantir un apport énergétique adapté aux besoins des synthèses de nouvelles protéines musculaires. On veillera à choisir des sources de protéines complètes, riches en BCAA, et les plus digestes possible (l’isolat de protéines de lactosérum est une source tout indiquée), et des glucides à IG plutôt élevé (les maltodextrines sont tout à fait adaptées à cette situation). A quel moment ? La réponse semble assez évidente, me direz-vous, puisqu’on parle de récupération. On est donc dans la période qui suit immédiatement l’effort ! Je me fais donc un plaisir de confirmer votre perspicacité, car c’est bien le cas. Mais on peut ajouter à cela une raison, ce qui ne donnera que plus de sens à chacun de vos choix alimentaire suivant un effort. La période qui suit immédiatement l’exercice physique est souvent appelée « fenêtre métabolique », justement parce qu’il s’agit d’un temps pendant lequel les tissus sollicités par l’effort – le muscle en premier – seront les premiers servis. Cette situation métabolique peut durer plusieurs heures en fonction de l’intensité et de la durée de l’effort accompli. Elle est cependant plus intéressante dans les 2 à 4 premières heures suivant la séance. La boisson de récupération devra donc être consommée dès la fin de votre sortie. Si la séance a été faite à basse intensité, la boisson de récupération n’aura pas grand intérêt, à moins que votre semaine soit particulièrement chargée, ou que vous soyez en train de faire un enchaînement du type « week end choc ». On utilisera la boisson de récupération plutôt pour faciliter l’adaptation à une séance de qualité (fractionné, musculation) ou une compétition. La quantité de protéines assimilable dans de telles conditions est assez limitée. On pourra donc se contenter de 1 à 2 prises en fonction du niveau de fatigue atteint lors de la séance. Et à table ? La boisson de récupération est un véritable outil permettant

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Avec Kévin Gaudin sur le GRP

Kévin Gaudin, notre coureur ou plutôt ultra-traileur de Terre de running Toulon s’élancera demain sur le Grand Raid des Pyrénées (GRP). Nouvellement arrivé, Kévin nous parle de sa passion qu’est l’ultra-distance. Les débuts Je viens d’intégrer depuis peu la Team TDR Toulon. Mon trip à moi, c’est l’Ultra Distance. J’aime vraiment repousser mes limites. C’est vraiment par hasard que je suis arrivée sur ce type d’effort. En 2013, je vis en Guyane et une association nommée « Jungle Adventures » et menée par un grand passionné organise la première édition de l’Ultra trail Amazonien (80 kms). Adepte de course à pied, je me lance ce défi qui me semble un peu fou. Aussi incroyable que cela puisse être, je remporte l’épreuve devant Vivien Laporte (Ultra Trailleur Breton). C’est là que tout a commencé. Depuis, je n’ai cessé de me lancer des défis. Les résultats sont importants, mais ce qui me plaît avant tout, c’est le plaisir que je peux en retirer dans le bonheur comme dans la souffrance. De défis en défis Marié et père de famille, j’essaye de gérer au mieux mon temps pour combiner vie de famille, travail et passion. Les trois dernières années, je ne m’autorisais qu’un seul Ultra et un seul trip par an (traversée de 154 km en autonomie en forêt Amazonienne, traversée de basse Terre en Guadeloupe en autonomie…) Depuis Janvier dernier, j’ai vraiment décidé de passer un CAP en m’autorisant une année de transition avec énormément d’efforts. Ce n’est pas forcément ce qu’il faut faire, mais je voulais trouver des limites, connaître le goût de la fatigue. Avec deux Tor des Géants (339 kms) en 2015 et 2016, je m’étais déjà trouvé une belle limite, mais ponctuelle. Je commence donc l’année 2017 avec des trails courts (30 kms) et un trip perso de 93 kms entre Belgentier (83) et Cassis (13) pour me donner du rythme. Plusieurs Ultras vont suivre jusqu’au mois de mai avec des résultats plutôt intéressants. Objectif GRP Je dois maintenant penser GRP (Grand Raid des Pyrénées – 220kms) dont le départ sera donné demain. Comme cela était prévisible, j’accuse le coup et abandonne début Juillet à Courmayeur sur un 105 kms. Je viens de passer un nouveau CAP car je découvre enfin cette baisse de régime dont tout le monde parle… Malgré tout, il faut se relancer et je n’ai rien de prévu avant le GRP. Comme la vie et bien faite, l’association « courir et découvrir » tenue par Philippe Delachenal vient nous proposer la première édition de l’Ultra Vanoise (trail off) en duo. Philippe est l’initiateur du Tour des Glaciers de la Vanoise, du Tour de la Grande Casse et bien plus encore que …. vous pouvez suivre ses aventures ici http://www.couriretdecouvrir.com Je retrouve ainsi de la confiance et de l’envie sur cet Ultra que je réalise au côté d’Antoine Biard. Maintenant, je peaufine ma préparation pour le GRP. Mon objectif est de terminer cette nouvelle épreuve en prenant du plaisir. J’espère faire un résultat intéressant, mais pour cela, je dois éviter les blessures et la mauvaise gestion de course. Pour cela, mon épouse Lydia gère la nutrition et l’ensemble des détails sur mes Ultras…Pour ma part, je ne fais que courir. J’opte donc pour un départ prudent avec une course en métronome. J’estime me connaître suffisamment maintenant pour réaliser cet exploit… Cette épreuve déterminera la fin de la saison. Je dois maintenant réfléchir à l’avenir pour continuer à progresser. C’est pour cela que je pense me rapprocher d’un club et d’un préparateur physique. Un grand merci à Terre de Running Toulon qui a décidé de me suivre dans mon aventure.   Pour suivre Kévin : http://kevingaudin.fr  

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La Tromso race vécue et racontée par Fabien Antolinos

Au mois de Janvier je parcourais le calendrier international et tombait sur des images de la Tromso Sky Race en Norvège, des sommets à traverser, un parcours original en aller retour, des fjords, des arêtes de rocher, du vide, de l’engagement pour une course estampillée Kilian Jornet. La famille ne connais pas ce pays, la course à pied est souvent l’occasion de découvrir alors nous décidons d’y aller !!! Extrême SKY RUNNING quésaco ? La course en quelques chiffres et une carte   Départ arrivée à Tromso (au bord de la mer), 57km, 4600m de dénivelé, 237 concurrents au départ, 98 finishers. Deux sommets de 1200 et 1400 mètres à franchir, deux fois pour le premier… beaucoup de hors sentier, des pentes raides, des arêtes aériennes, des torrents à traverser dans une eau de 3 à 5 degrés, de la proprioception sur les multiples rochers !!! Expérimentation du sky running Je vais vous livrer mes sensations sur la course et essayer de donner ma définition du SKY RUNNING au travers de mon ressenti sur cette Tromso Sky Race : S comme Simplicité : Un écriteau à la main dans un hôtel de Tromso te dit quand venir chercher ton dossard, pas de flyer pour d’autres courses, pas de sac plastique, pas de puce à mettre au pied, pas de certificat médical à présenter… juste un dossard et un tee-shirt. Pas de matériel obligatoire, juste un coupe vent. A l’arrivée c’est thé bio, assiette de pâtes et pâtisseries locales, on te sert avec ou sans dossard. Emelie Forsberg commente, prend des photos et des vidéos, interview, fait la remise des récompenses… K comme Kilian : La course tracée par Kilian Jornet est à son image, c’est raide, engagé, vertigineux, les difficultés ne sont pas contournées mais affrontées directement toujours en passant au sommet. Y comme « Y faut y aller » : Premier exemple, au top du premier sommet le Tromsdalstind tu bascules de l’autre côté et là je me suis arrêté, j’ai pris mon souffle puis me suis lancé dans un névé dur incliné à 45° qui donnait sur des rochers et des pentes glissantes tout aussi raides. Après une descente directe il faut traverser des torrents jusqu’aux genoux dont l’eau vous serre les mollets. Quand tu arrives sur le dernier sommet, le Hampeokken, une arête de rocher se découpe et là tu dois escalader les premiers blocs rocheux et te retrouves sur le fil avec du vide des deux côtés… encore une respiration avant d’ « y aller » !!!   R comme Raide : Ce qui différencie nos courses de trail habituelles et cette course de sky running c’est la raideur du relief, les pentes sont gravies au plus court, au plus direct, à la montée comme à la descente à tel point qu’on doit souvent se tenir à la végétation ou au rocher pour avancer ! U comme Unique : Je n’imagine pas la possibilité d’une telle course en France du moins sans cordes fixes, baudrier, casque, sélection des participants, quand tu es dans la course tu te dis il faut profiter du moment car c’est original… N comme Nature : Jamais sur une course de trail je n’ai eu autant l’impression d’être autant entouré de nature. On doit courir parfois hors sentier, hormis sur le départ arrivé il n’y a aucune maison, route, signe de civilisation durant tout le parcours. Pas de fléchage ou de bombe de peinture, juste quelques rubalises et des fanions. Tu prends ton ravitaillement dans les torrents ou lacs rencontrés en plus des quelques points de l’organisation. Dans la première ascension nous avons croisé un troupeau de Rennes d’une vingtaine de bêtes. N comme « No rules » : Si les règles existent, elles sont réduites au stricte minimum et pour les sky runneurs la règle c’est d’être le plus direct entre deux points. Aussi, malgré les sentiers parfois existants chacun se fait sa trajectoire la plus courte possible. Dans la première petite descente je m’évertue à tracer de belles courbes sur un joli sentier. Les gars me doublent à gauche dans un virage à droite et me disent « cut, cut !!! », bon d’accord… I comme Images : Les paysages sont souvent à couper le souffle du fait de la verticalité et de la profondeur de vue. N comme Niveau de performance : Difficile pour moi de me faire une idée sur la concurrence que je connaissais peu. Je termine 4ème à 4 minutes du podium et de Michel Lanne pour une course absolument pas préparée avec la fatigue du voyage et des nombreuses sorties et ascensions réalisées quelques jours avant la course. Ce qui est certain c’est que dans les dix premiers de nombreux team internationaux sont représentés et également de nombreuses nationalités différentes. J’ai l’impression que le sky running gagnerait cependant à clarifier son calendrier, à ne pas multiplier les courses sur les mêmes périodes pour rassembler son élite sur des courses spectaculaires avec une forte concurrence. G comme « gaufre » : Tomber, glisser c’est normal, il faut juste se préparer à la chute et essayer de ne pas se faire mal !   Pour conclure, cette expérience de course originale m’a vraiment plu, j’ai profité du cadre exceptionnel norvégien, du parcours tourmenté et aérien tracé par kilian. Je ne recommande cependant cette aventure qu’aux initiés à la montagne pour lesquels le vertige n’est pas un problème, ceux qui savent utiliser leurs mains pour progresser dans les rochers, poser les pieds sur une arête d’un demi-mètre de largeur et à ceux que marcher ne rebute pas sur une compétition.   Fabien

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Nouveauté SUUNTO : SPARTAN TRAINER WRIST HR

Avec la nouvelle Spartan Trainer Writs, Suunto combine la polyvalence d’une montre GPS multisport compacte et légère La gamme des montres de sport Suunto Spartan s’agrandit aujourd’hui avec le lancement de Spartan Trainer Wrist HR – une montre GPS multisport mince et légère pour les sportifs assidus. D’une taille considérablement réduite par rapport à ses aînées, la montre Spartan Trainer propose cependant des fonctionnalités polyvalentes et bien pensées pour l’entraînement, un contrôle de l’activité quotidienne ainsi que la mesure de la fréquence cardiaque au poignet, une technologie mise au point par Valencell, le spécialiste de la biométrie. Une montre plus petite et plus légère que la gamme Spartan commercialisée à partir de 279€ Fonctionnalités Pour vous accompagner au quotidien et garder la forme, le suivi des informations et la personnalisation ont été revus : les graphismes en couleur clairs et faciles à suivre qui apportent des informations 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 ainsi que des récapitulatifs. des affichages personnalisables et des fonctionnalités d’entraînement sont proposées pour tous les types de sports, grâce à la mesure de la fréquence cardiaque et à la détection de mouvement au poignet poids de 56 grammes design discret qui s’adapte à tous les poignets même les plus fins étanchéité à 50m autonomie de 10 heures (jusqu’à 30 heures avec les options d’économie d’énergie) GPS intégré pour mesurer la vitesse, l’allure, la distance et l’altitude. 80 modes sportifs préinstallés Les affichages dédiés à la course à pied, au vélo ou encore à la natation apportent des renseignements pertinents en temps réel. la navigation GPS assortie d’une vue du chemin emprunté (la trace « Petit Poucet ») est idéale pour découvrir aisément de nouveaux itinéraires et de nouveaux lieux et toujours retrouver son chemin fréquence cardiaque au poignet par Valencell une technologie de pointe au niveau mondial   Modèle à découvrir prochainement dans vos magasins Terre de running et sur www.terrederunning.com

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Ils ont fait du Trail, la maîtresse de leur vie !

Terre de running Toulon a accueilli 3 nouveaux coureurs. Sportifs et coureurs passionnés on découvre leurs portrait, leurs objectifs et leurs beaux projets pour la saison 2017 Hervé Del Gaudio (44 ans), David Depetris (46 ans) et Philippe Manavella (51 ans) sont heureux de rejoindre la team Terre de Running Toulon pour cette nouvelle saison 2017. Ils partagent leur passion Ces trois sportifs passionnés et investis accumulent de manière quasi insoutenable les séances d’entraînement au quotidien. Course à pied, Trail ou encore cyclisme sur route… les entraînements se situent le plus souvent sur les contreforts du Faron, là où le terrain est pentu, rocheux et varié. Depuis 2008, les 3 coureurs mais aussi amis dans la vie se sont donc astreints à une discipline de fer pour mener à bien leurs objectifs d’épreuves au long cours. Ils restent en ce sens sur des épreuves « longue distance » de premier ordre ces dernières années. Objectif « Echappée Belle » Désormais, ils concentrent tous leurs efforts et leurs courses sur ce qu’ils considèrent comme l’objectif primordial de la saison ou peut-être même de leur vie, à savoir l’Echappée Belle, les 25, 26 et 27 août 2017. Cette traversée intégrale de la chaîne de Belledonne de Vizille (Isère) à Aiguebelle (Savoie) d’une distance totale de 144 km pour 11 000 m D+, est pour eux l’aboutissement de plusieurs années d’entraînements et de souffrances. La team Terre de Running de Toulon est pour eux l’occasion de découvrir l’envers du décor, prendre le temps d’observer, d’échanger, de voir comment vit un groupe mais aussi de se perfectionner grâce à des professionnels aguerris. La Team Terre de Running, présidée par Didier Ronsin, leur a gentiment ouvert ses portes, leur offrant l’opportunité de vivre une expérience humaine et sportive unique. Sincérité, simplicité, humilité, une devise que la team Terre de Running et les 3 nouveaux trailers partageront avec fierté ! PALMARES DAVID DEPETRIS Palmarès : SaintéLyon – 72 km (2014, 2016) Trace des Ducs de Savoie TDS – 119 km (2016) Ultra Trail de Vulcain – 72 km (2016) Maxi Race Annecy – 83 km (2016) Gap’en Cimes – 55 km (2012, 2015) Trail de la Sainte Baume – 46 km (2013) Verdon Canyon Xtrail – 52 km (2015) Courchevel XTrail – 54 km (2014) Snow Trail Ubaye – 22 km (2013) Ardéchois Trail – 59 km (2017) High Trail Vanoise – 70 km (2017) Projets : SaintéLyon – 72 km (2017) UTMB – 171 km (2018) L’Echappée Belle – 144 km (2017) PALMARES HERVE DEL GAUDIO Palmarès : SaintéLyon – 72 km (2014, 2015, 2016) Trace des Ducs de Savoie TDS – 119 km (2016) Ultra Trail de Vulcain 72 km (2016) Gap’en Cimes – 55 km (2012, 2015) CCC – 101 km (2015) Verdon Canyon Xtrail – 52 km (2015) Courchevel XTrail – 54 km (2014) Ardéchois Trail – 59 km (2017) High Trail Vanoise – 70 km (2017) Projets : UTMB – 171 km (2018) SaintéLyon – 72 km (2017) L’Echappée Belle – 144 km (2017) PALMARES PHILIPPE MANAVELLA Palmarès : SaintéLyon – 72 km (2016) Ultra Trail de Vulcain 72 km (2016) Gap’en Cimes – 55 km (2012, 2015) Courchevel XTrail – 54 km (2014) Trail de Bormes les Mimosas – 30 km (2012) Trail de la Sainte Baume – 46 km (2013) Ardéchois Trail – 69 km (2017) Projets : SaintéLyon – 72 km (2017) UTMB – 171 km (2018) L’Echappée Belle – 144 km (2017)

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Un must-have la veste GORE Runing

Maité de Terre de running Echirolles a testé la veste de running de la marque GORE RUNNING. Cette veste Windstopper m’a séduite par sa légèreté. On ne la sent pas elle se fait vite oubliée. Sa coupe est parfaitement ajustée et proche du corps tout en laissant une totale liberté de mouvement. Sa propriété windstopper s’est montrée très efficace à vélo en descente de col par exemple. Egalement déperlante, cette veste est très efficace par temps perturbé voire incertain et vous maintiendra ainsi au sec quelque temps. Compactable, elle se plie très facilement dans le sac en un rien de temps. Sa matière « légère » permet de la porter sur des saisons et des temps variables Elle peut parfaitement être utiliser pour d’autres sports: vélo de route , VTT, rando, ski de fond.   Vous ne connaissez pas GORE? la marque est connue pour proposer des vêtements de haute qualité windstopper, Gore tex ou très performants. La marque est particulièrement sensible aux choix des matières et des matériaux afin de proposer des vêtements résistants et performants. A découvrir dans nos magasins ou sur www.terrederunning.com

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Accrochez-vous avec la nouvelle Speedgoat 2 Hoka One One

Dernière nouveauté trail de la marque franco-américaine HOKA ONE ONE, la nouvelle SPEEDGOAT 2  a été bien améliorée.   Les coloris sont tendance, il n’y aura pas de jaloux entre traileurs et traileuses ! Sa nouvelle version offre notamment un mesh renforcé, une semelle plus large (et pas le chaussant !) pour une meilleure stabilité. lle est d’ailleurs dotée de la technologie VIBRAM pour une accroche sur tous les terrains et toutes les conditions et garde les plus HOKA; à savoir un drop faible de 4.5 et un poids léger pour une chaussure de trail (276g et 232g). Inspirée par l’ultra-traileur Karl Meltzer et par des profils de course comme l’UTMB pour évoluer tant en plaine qu’en haute montagne,  la nouvelle Speedgoat 2 est un modèle plein de promesses…     A découvrir et tester dans les magasins Terre de running et sur www.terrederunning.com/speedgoat-2.html  

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Courez en légèreté et en confort avec les Salomon Sense Ride

Aujourd’hui c’est Mervin, vendeur-conseil à Terre de running Limonest et runner assidu qui vous parle du nouveau modèle Salomon Sense Ride après l’avoir testé sur les sentiers…     La nouvelle Salomon SENSE RIDE est un subtil compromis entre confort et légèreté ! Salomon sense ride, A conseiller si… : Vous êtes « léger » (recommandée < 80kg) Avec mon gabarit léger, je souhaitais une chaussure « poids plume » pour des trails polyvalents: la Sense Ride répond parfaitement à mes attentes. Vous cherchez de l’accroche Coté semelle, son grip est marqué et procure une très bonne accroche dans toutes les conditions. La semelle est bien là pour durer car malgré des nombreux passages sur la route et dans des terrais très secs et caillouteux, il n’y a aucune trace d’usure majeure apparente. La semelle « Contagrip »  procure effectivement une très bonne adhérence sur tous les terrains. Vous voulez quand même de l’amorti J’ai vraiment été surpris par l’efficacité de la technologie VIBRE (opal + EnergyCell) qui apporte de la douceur sur tout le déroulé du pieds et filtre parfaitement les passages sur routes. Les autres points forts : Les habituels points forts de chez Salomon sont toujours présents avec : une tige robuste, confortable et protectrice une voute marquée et le laçage rapide. Caractéristiques :  275gr – universelle – Drop 8 mm Je la recommande à tous les coureurs évoluant sur des terrains et des courses aux profils variés.   Disponible dans vos magasins Terre de running et sur www.terrederunning.com

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En confort et en confiance avec les Nike Pegasus 34

Mathilde runneuse addict et membre de Terre de running Toulon nous fait son retour  sur les NIKE Pegasus 34. Version améliorée de la 33 Voilà maintenant un mois, j’ai eu la chance de recevoir en test les petites dernières de Nike. Ayant déjà usé 2 paires de Pegasus 33 je connaissais bien la gamme et je n’ai pas été déçue. Comme les 33 on retrouve des chaussures qui allient amorti et dynamisme grâce à la technologie Zoom Air située au niveau du talon mais également au niveau de l’avant pied. Elles s’adressent donc à des coureurs à la foulée universelle, quelle que soit l’attaque du pied au sol (talon ou médio pied) pour des run plutôt sur route ou chemin. On retrouve également les câbles Flywire qui permettent un bon maintien du pied et de la voûte plantaire pendant la course. LES CHANGEMENTS Ce qui change : Le design : les câbles sont cachés par l’empeigne et il n’y a plus le talon réfléchissant.  L’empeigne sans couture en tissu Flymesh qui se veut plus respirant pour plus de confort. AVIS ET UTILISATION Mon avis : pas de surprise par rapport aux Pegasus 33, je les ai enfilées comme des chaussons et retrouvé des sensations similaires ! Concernant l’empeigne, honnêtement difficile à dire si mes pieds « respirent » plus lorsque je cours surtout avec la chaleur de ces dernières semaines…. Si vous êtes habitués aux Pegasus 33, vous ne prenez pas beaucoup de risque en les remplaçant par les 34 ! Pour ma part elles ont remplacé ma paire de 33 un peu fatiguée sur mes footing, sorties longues, séances de PPG et même mes sorties vélo ! Pour les séances sur piste, elles peuvent être bien pour commencer, mais si vous avez un peu « de pied » elles vont paraîtront lourdes par rapport à des chaussures plus minimalistes qui privilégient légèreté et dynamisme à l’amorti ! Caratéristiques : – 295g (homme 44) / 247g (femme 39) – Drop 10mm Les Pegasus 34 sont disponibles dans vos magasins et sur www.terrederunning.com

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