_Toutes

all

Vos sorties running avec Terre de Running Lyon

Après la pause estivale et rentrée oblige, de nouvelles dates vous sont proposées pour les samedis du jogging. Les samedis du jogging votre rdv running sur Lyon ! Organisé par Terre de running retrouvez 2 fois par mois, nos sessions running gratuites, tous niveaux et encadrées par notre coach Patrick. RDV au magasin Terre de running Lyon – 8 rue de la Barre à 10h. Vestiaire possible au magasin. Prévoir une durée d’environ 1h15/30 les dates à venir samedis 9 et 23 septembre samedis 7 et 28 octobre samedis 4 et 18 novembre samedis 2 et 16 décembre Certaines sessions running seront axées sur des thématiques pour vous préparer aux courses Run in Lyon, LUT by Night, Saintélyon.   Session running du jeudi Vous avez aimé alors on s’y remet! Un jeudi par mois, c’est le rendez-vous de votre run urbain. Une sortie running gratuite et encadrée toujours par Patrick. Des sorties urbaine, du renforcement, des testings…Bref des surprises et de la bonne humeur. RDV à 19h au magasin Terre de running Lyon Les dates à venir Jeudi 14 septembre : spécial Run in Lyon Jeudi 12 octobre : spécial LUT Jeudi 9 Novembre : spécial Saintélyon Jeudi 21 décembre : run spécial Noel 😉   Toutes les infos auprès du magasin Terre de running Lyon : lyon2@terrederunning.com – 04 72 77 53 85 et la page facbook du magasin.

Lire la suite »

Nutrition de la récupération, nos conseils

Au cours de cette année, nous avons abordé plusieurs sujets en matière de nutrition, et particulièrement les différentes étapes qui font la performance de chacun, de la préparation à la compétition elle même. Après avoir vu la nutrition en course et proposé des solution à la question de la chaleur, la boucle ne serait pas bouclée si l’on évitait le sujet clef de la préparation physique : la récupération. L’effort détermine l’adaptation Avant toute chose, il faut bien comprendre que l’effort est le principal déterminant de l’adaptation physique. C’est en effet, le type d’exercice qui détermine en premier l’expression des gènes. La nutrition n’intervient qu’après, et de manière assez limitée. En d’autres termes, avoir un entraînement exclusivement basé sur des séances de course à pieds stimulera les gènes permettant les efforts d’endurance, alors qu’un entraînement à base de séances de force favorisera davantage la prise de masse musculaire. En effet, la pratique de l’endurance stimule l’expression du gène AMPK, c’est à dire la production de mitochondrie, soit l’organe intracellulaire permettant d’oxyder (brûler) les substrats pour produire de l’ATP (l’énergie). En revanche, la pratique d’un exercice de force stimule l’expression du gène mTOR, responsable de la production de protéines contractiles… c’est à dire permettant l’augmentation du volume de la fibre musculaire, et donc sa force de contraction. Pour finir notre explication, il est important d’ajouter que la stimulation de AMPK exerce un effet inhibiteur sur l’expression de mTOR. Pour résumer, la pratique de l’endurance vous empêchera de prendre de la masse musculaire… ce qui vous permettra de retirer de grands bénéfices d’une séance de musculation en complément de votre programme de coureur à pieds (amélioration du geste, économie de course, puissance…). Mais laissons ce thème à maître Balducci, tellement plus compétent sur le sujet. La boisson de récupération, outil d’entraînement J’avais besoin de situer ce paramètre pour vous inciter à la prudence quant au marketing un peu racoleur que l’on peut rencontrer sur certaines boîtes. Un complément « spécial prise de masse » par exemple, est une promesse intenable sans la séance idoine de musculation. Par contre, une boisson de récupération « spécial trail » prise à l’occasion de vos séances de renforcement musculaire pourrait bien vous aider à prendre du muscle si vous oublier d’aller courir avant ou après. Ceci dit, le contenu micronutritionnel de la ration de récupération peut influencer positivement ou négativement l’adaptation de votre organisme. Consommer de l’alcool après un entraînement serait par exemple un frein puissant à l’adaptation, car celui-ci inhibe la synthèse du glycogène, et favorise la lipogenèse, au lieu de favoriser l’entrée des acides aminés dans les cellules musculaires. Au contraire, choisir une ration contenant les micronutriments nécessaires à la récupération, sous une forme biodisponible et digeste, permettrait authentiquement de rentabiliser une séance de qualité. On peut clairement affirmer qu’une bonne boisson de récupération serait un excellent outil d’entraînement, car elle permet à la fois de réhydrater l’organisme, et d’apporter les nutriments de la récupération. Quelles pertes ? Si l’on entend faire le bilan des pertes provoquées par un effort, il faudra aller au bout de la réflexion. On ne peut en effet résumer la question à l’eau, au sodium, aux glucides et aux protéines… même si ces quatre éléments doivent forcément apparaître au « menu ». Les pertes provoquées par un effort d’endurance vont plus loin. Dans les différentes études publiées sur la question, on peut voir mentionnés les effets suivants : – pertes hydriques – diminution ou vidange des réserves de glycogène musculaire – pertes minérales (sodium, mais aussi potassium, magnésium… voire calcium) – surconsommation de vitamine C – surconsommation de vitamines B – surconsommation de certains acides aminés (glutamine, acides aminés branchés…) – augmentation de la production de médiateurs pro-inflammatoires. Il sera donc plus cohérent de chercher à répondre à chacune de ces pertes par un apport correspondant. Une formule de qualité devra donc autant que possible contenir une liste assez complète de ces nutriments, à commencer par les protéines et glucides, dont l’apport sera le plus important en proportion au reste. On comptera environ 4 fois plus de glucides que de protéines, afin de garantir un apport énergétique adapté aux besoins des synthèses de nouvelles protéines musculaires. On veillera à choisir des sources de protéines complètes, riches en BCAA, et les plus digestes possible (l’isolat de protéines de lactosérum est une source tout indiquée), et des glucides à IG plutôt élevé (les maltodextrines sont tout à fait adaptées à cette situation). A quel moment ? La réponse semble assez évidente, me direz-vous, puisqu’on parle de récupération. On est donc dans la période qui suit immédiatement l’effort ! Je me fais donc un plaisir de confirmer votre perspicacité, car c’est bien le cas. Mais on peut ajouter à cela une raison, ce qui ne donnera que plus de sens à chacun de vos choix alimentaire suivant un effort. La période qui suit immédiatement l’exercice physique est souvent appelée « fenêtre métabolique », justement parce qu’il s’agit d’un temps pendant lequel les tissus sollicités par l’effort – le muscle en premier – seront les premiers servis. Cette situation métabolique peut durer plusieurs heures en fonction de l’intensité et de la durée de l’effort accompli. Elle est cependant plus intéressante dans les 2 à 4 premières heures suivant la séance. La boisson de récupération devra donc être consommée dès la fin de votre sortie. Si la séance a été faite à basse intensité, la boisson de récupération n’aura pas grand intérêt, à moins que votre semaine soit particulièrement chargée, ou que vous soyez en train de faire un enchaînement du type « week end choc ». On utilisera la boisson de récupération plutôt pour faciliter l’adaptation à une séance de qualité (fractionné, musculation) ou une compétition. La quantité de protéines assimilable dans de telles conditions est assez limitée. On pourra donc se contenter de 1 à 2 prises en fonction du niveau de fatigue atteint lors de la séance. Et à table ? La boisson de récupération est un véritable outil permettant

Lire la suite »

Challenge Hoka Test Tour by Terre de Running

Ca va bouger pour la rentrée avec Hoka ! On vous a concocté 4 sessions pour vous challenger avec nos magasins de Grenoble, Bourgoin, Echirolles et Albertville et teser les nouvelles gammes de chaussures HOKA. Le Challenge Hoka Test tour, c’est quoi? Un challenge mixte avec du trail, des montées, du mixte, des montées-descentes, de la route. Vous testez la gamme de chaussures Hoka et marquez des points pour le challenge qui compte 4 dates. Le Challenge Hoka Test tour, c’est quand? 21 septembre : TDR BOURGOIN  Challenge Mixte 28 septembre : TDR Grenoble : Challenge Montée sèche par les marches de la Bastille en départ Mass start de la casemate 5 octobre : TDR Albervilles : Challenge UP&DOWN trail 12 octobre : TDR ECHIROLLES : Challenge route  et Remise des prix du challenge. Le Challenge Hoka Test tour, ça se passe comment? 18H30 accueil des participants et inscription 19h échauffement jusqu’au lieu du challenge ou départ de la session depuis le magasin. 20H retour et débrief au magasin avec remise de goodies à tous les participants. Pour le challenge global, les 3 premiers hommes et femmes seront récompensés à l’occasion de la manche du 12 octobre.   Toutes les infos sur les pages facebook des magasins : Terre de running Bourgoin Terre de running Grenoble Terre de running Albertville Terre de running Echirolles   On vous attend nombreux pour cet événement unique !  

Lire la suite »

Nouveauté SUUNTO : SPARTAN TRAINER WRIST HR

Avec la nouvelle Spartan Trainer Writs, Suunto combine la polyvalence d’une montre GPS multisport compacte et légère La gamme des montres de sport Suunto Spartan s’agrandit aujourd’hui avec le lancement de Spartan Trainer Wrist HR – une montre GPS multisport mince et légère pour les sportifs assidus. D’une taille considérablement réduite par rapport à ses aînées, la montre Spartan Trainer propose cependant des fonctionnalités polyvalentes et bien pensées pour l’entraînement, un contrôle de l’activité quotidienne ainsi que la mesure de la fréquence cardiaque au poignet, une technologie mise au point par Valencell, le spécialiste de la biométrie. Une montre plus petite et plus légère que la gamme Spartan commercialisée à partir de 279€ Fonctionnalités Pour vous accompagner au quotidien et garder la forme, le suivi des informations et la personnalisation ont été revus : les graphismes en couleur clairs et faciles à suivre qui apportent des informations 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 ainsi que des récapitulatifs. des affichages personnalisables et des fonctionnalités d’entraînement sont proposées pour tous les types de sports, grâce à la mesure de la fréquence cardiaque et à la détection de mouvement au poignet poids de 56 grammes design discret qui s’adapte à tous les poignets même les plus fins étanchéité à 50m autonomie de 10 heures (jusqu’à 30 heures avec les options d’économie d’énergie) GPS intégré pour mesurer la vitesse, l’allure, la distance et l’altitude. 80 modes sportifs préinstallés Les affichages dédiés à la course à pied, au vélo ou encore à la natation apportent des renseignements pertinents en temps réel. la navigation GPS assortie d’une vue du chemin emprunté (la trace « Petit Poucet ») est idéale pour découvrir aisément de nouveaux itinéraires et de nouveaux lieux et toujours retrouver son chemin fréquence cardiaque au poignet par Valencell une technologie de pointe au niveau mondial   Modèle à découvrir prochainement dans vos magasins Terre de running et sur www.terrederunning.com

Lire la suite »

Un must-have la veste GORE Runing

Maité de Terre de running Echirolles a testé la veste de running de la marque GORE RUNNING. Cette veste Windstopper m’a séduite par sa légèreté. On ne la sent pas elle se fait vite oubliée. Sa coupe est parfaitement ajustée et proche du corps tout en laissant une totale liberté de mouvement. Sa propriété windstopper s’est montrée très efficace à vélo en descente de col par exemple. Egalement déperlante, cette veste est très efficace par temps perturbé voire incertain et vous maintiendra ainsi au sec quelque temps. Compactable, elle se plie très facilement dans le sac en un rien de temps. Sa matière « légère » permet de la porter sur des saisons et des temps variables Elle peut parfaitement être utiliser pour d’autres sports: vélo de route , VTT, rando, ski de fond.   Vous ne connaissez pas GORE? la marque est connue pour proposer des vêtements de haute qualité windstopper, Gore tex ou très performants. La marque est particulièrement sensible aux choix des matières et des matériaux afin de proposer des vêtements résistants et performants. A découvrir dans nos magasins ou sur www.terrederunning.com

Lire la suite »

Notre avis sur la M430 Polar

On a testé la montre GPS Cardio Polar M430. Voici notre retour d’expérience suite à quelques semaines de running et de prise en main. POlar M430, entre la M600 et la M400 La M430 est la dernière née de POLAR. C’est l’évolution de l’efficace M400 avec le cardio poignet en plus. Cette nouveauté est sortie en début d’année avec trois couleurs de bracelets (gris, orange, blanc) au prix de 229€ et elle se place entre la M400 (vendue à 129€ chez Terre de running) et le M600 (vendue 329€ en magasin et en ligne).   M430 : montre GPS et plus.. Cette montre est avant tout une montre GPS, donc elle permet de calculer la distance parcourue, la vitesse instantanée et la vitesse moyenne. Dotée d’un nouveau capteur de fréquence cardiaque avec 6 leds, sa précision est correcte comparée à une ceinture cardio à la poitrine. On retrouve le look d’une M400 avec un design qui manque un peu de travail par rapport à la concurrence. On retrouve dans le logiciel de la montre, un outil facile à prendre en main. Cette montre est étanche jusqu’à 30m permet le suivi d’activité (sommeil, pas…) peut se connecter avec un téléphone permettant de recevoir notifications, sms et mails sur la montre en présence de votre téléphone. vous retrouverez des plans d’entrainements directement via Polar pour vos différents objectifs. Prise en main de la M430 Maintenant en regardant la montre de plus près, elle est très facile à prendre en main avec des fonctions simples que l’on découvre dans le menu avec par exemple un test fitness qui permet de calculer des données physiologiques de l’utilisateur. En parcourant le menu, on arrive facilement aux activités avec bon nombre de sports renseignés. Le signal GPS est plutôt facile à avoir, précisons quand même qu’il est préférable de s’éloigner des arbres et des habitations pour le trouver plus rapidement. Nouveauté Nouveauté sur la M430 : un enregistrement GPS sur trois paliers : 1 s, 30 s ou 60 s. => L’intérêt est de pouvoir choisir la précision du GPS selon l’activité pratiquée. Cela influence grandement l’autonomie de la montre puisqu’elle passe de 8h (1 s) à 30h (60 s). Egalement, on retrouve la l’alerte par vibration que nous n’avions pas sur le M400. Connexion Polar Flow L’interface pour échanger avec la montre est Polar Flow que vous retrouverez en application pour téléphone et tablette ou sur internet. Il est possible de réaliser beaucoup de choses avec cette plateforme. Un petit temps de découverte vous permettra de mieux comprendre son organisation.   En résumé : la M430 Polar est une montre multisport assez complète et facile à utiliser avec des plans d’entrainement adaptés à chacun, un cardio poignet qui permet de gagner en confort sans utiliser la ceinture à la poitrine. Seul bémol, son design qui est peu travaillé au regard de la concurrence.

Lire la suite »

Guides nutritionnels trail et running par Overstim’s

La marque de diététique sportive Overstim’s vient d’éditer 2 guides sur la nutrition en running et trail. Il s’agit de 2 guides pratiques qui abordent les thèmes de l’alimentation au quotidien, de conseils, de l’aliment avant-pendant et après l’effort.   Pour les consulter : guide_nutritionnel_running_overstims guide_nutritionnel_trail_overstims     La gamme Overstim’s est disponible dans les magasins Terre de running et sur www.terrederunning.com    

Lire la suite »

Premier IronMan pour Hugo !

Hugo Altmeyer, vendeur à Terre de running Décines membre du team TDR régional et du team Scott, est un coureur accompli qui aime les défis. Après son bon résultat aux France de duathlon (14ème) il participera à son « objectif » de l’année : l’IronMan de Nice. Portrait de ce sportif qui partage son temps entre ses passions… Hugo, peux tu te présenter ? J’ai 25 ans, j’ai un master en Finance de marché et je travaille actuellement à mi-temps au magasin terre de running de Décines pour concilier plus facilement mon entrainement, le travail, le repos et les loisirs. J’ai grandi côté de Reims où habitent encore mes parents. Là-bas je faisais du tennis et du foot avant de partir à 15 ans en Haute-Savoie pour faire du biathlon qui était un rêve pour moi. La course à pied était jusqu’à mes 19 ans une activité annexe avant d’arrêter le biathlon et je m’y suis mis plus sérieusement pour des raisons anecdotiques et des défis à relever. Par exemple, quand j’ai effectué mon année d’échange à Moscou et que j’avais arrêté le sport pendant les 2 années d’avant, j’allais à la salle de sport 4 fois par semaine où je ressemblais plus à un gymnaste qu’à un coureur ! Puis au printemps je me suis dit qu’il était temps de recourir donc je me suis inscrit à mon 1er marathon à Lyon, j’ai été sérieux dans ma prépa et je l’ai fini en 2h30 du coup je me suis dit que j’avais fait le bon choix en m’y remettant. Tu es un coureur multi-terrain (trail, route, trai) mais cette année ton principal objectif sera l’Ironman de Nice. Pourquoi ce choix et comment t’organises-tu pour tout concilier? Par les différents sports que j’ai pratiqué, je me suis rendu compte que j’avais des qualités d’endurance et de vitesse. Je suis plutôt polyvalent dans les sports et vu mon gabarit, des copains sportifs m’avaient dit que je devais essayer le triathlon, sauf qu’à l’époque, j’avais ni vélo de route et je ne savais pas nager le crawl 😉 Donc pour aller dans leur sens, et après avoir encouragé un ami à moi à l’Ironman de Nice en 2015,  je me suis décidé à faire cette course avant mes 30 ans ! La fin de mes études a accéléré ma décision, car j’ai décidé d’arrêter la Finance et la vie à Paris pour me lancer dans l’Ironman cette année, revenir à Lyon pour mieux m’entraîner et faire également pas mal de courses sur route et trail. N’aimant pas prendre mes défis sportifs à la légère, je savais que pour l’Ironman il fallait beaucoup de temps pour s’entraîner et faire mon apprentissage en triathlon du coup je travaille qu’à mi-temps. Après c’est moi qui m’auto-gère sur mon programme, je suis assez flexible en fonction de la météo, des horaires de piscines, de la pollution, de mes envies et d’où je suis car je bouge beaucoup pendant mes jours de repos, mais j’essaye de garder une trame globale. Globalement je fais mes journées « volume » en milieu de semaine, plus cool le vendredi et samedi, puis les compétitions le dimanche. La préparation n’a pas été monotone et longue d’un point de vue mental, vu que j’ai fait beaucoup de courses (23 en 2017) et sur des profils variés, et je change souvent mes coins d’entrainement. De plus, j’ai continué à profiter de ma jeunesse entre les amis, les festivals de musique et les autres petits plaisirs sans trop de privations mais tout en gardant une très bonne hygiène de vie pour bien assimiler les grosses semaines (en moyenne 20h/ sem) et les courses sans se blesser. Quelles sont tes ambitions pour ce premier IronMan et comment vas-tu gérer la course? Malheureusement cette année je bascule dans la catégorie 25-29 ans, c’est donc mission quasi impossible de faire un top 3 dans cette catégorie dû au retard que je vais prendre en natation du coup je me suis juste fixé un objectif de temps sous les 10h. Sur la natation vu que c’est un départ par vague, je vais essayer de me mettre dans les premiers concurrents afin d’éviter « le gros du trafic ». Puis sur la 1ère partie en vélo  où il y a le gros du dénivelé, je dois faire mon effort pour profiter de mes qualités de grimpeurs ensuite la fin du parcours est roulante donc il faudra les optimiser et bien s’hydrater et manger afin d’avoir assez de jus pour attaquer le marathon que j’espère faire -de 3h où le mental dira à mes jambes de continuer à avancer encore et toujours ! Et je pense que la foule de spectateurs le long de la promenade pour nous encourager sera juste une bouffée d’énergie. À titre personnel, j’espère aussi qu’il fera chaud car c’est là où j’ai le plus mes chances 😉 Quelle sera la suite de ta saison? As-tu déjà organisé la suite de ta saison? Après une petite pause, je vais reprendre par le trail, avec notamment l’Ultraks à Zermatt fin août, puis le Bike & Run de l’Ancilevienne mi septembre que j’avais remporté l’année dernière avec un ami. Enfin, retour sur marathon avec Lyon début octobre et j’espère celui de Reims 2 semaines après. Pour finir par d’autres courses comme l’urban trail nocturne de Lyon et la Saintéxpress. Je vais être moins gourmand que l’année dernière où j’avais du abandonner sur la SaintéLyon après 50 km..   Merci et bonne course Hugo !

Lire la suite »

Test de la tenue Li-Ning

Marion coureuse et membre du team terre de running Quétigny a testé la tenue Li-Ning. Vous ne connaissez pas la marque Li-Ning? Elle a été créée par un champion olympique de gymnastique et fait partie du groupe qui distribue Lutha et Icepeak. Les produits Li-Ning sont des produits techniques aussi bien destinés aux sportifs ayant une pratique intensive qu’à ceux qui pratique une activité en loisir. Le leitmotiv du groupe est de créer des produits technique,de qualité au bon prix. La marque possède de nombreux athlètes internationaux comme ambassadeur et notamment Asafa Powell, Dwayne Wade, Marin Cilic, Christian Taylor… Notre test de la tenue li-ning Le Cuissard : Le short/cuissard Li-Ning noir se porte prêt du corps et sa matière permet qu’il ne remonte pas lors des vos premières foulées. Idéal pour vos séances de fractionné du fait de son confort et de sa légèreté. Mais aussi idéal pour vos sorties longues grâce à son parfait maintient au niveau des vos cuisses, il évite les frottements et irritations dus aux sorties longues. Son cordon de maintien au niveau de la taille permet de bien l’ajuster à votre morphologie et évite qu’il ne descende lors de vos exercices et de vos footings longs. Petit accessoire en plus, il est muni d’une petit poche zippée à l’arrière, au niveau du bas du dos ce qui vous permet de pouvoir transporter vos clefs en toute sécurité ou autres objets personnels. Je l’ai essayé à différents occasions, lors de séance de piste mais aussi lors d’une sortie longue footing d’une heure et je l’ai adopté. Très confortable à porter et surtout en cette période de chaleur, sa matière est assez légère et il n’ajoute donc pas une chaleur supplémentaire au corps. Le débardeur : Le débardeur jaune Li-Ning est très agréable à porter lors de l’apparition des fortes chaleurs. En effet, sa matière très légère et fine permet à votre corps de bien respirer lors de vos efforts soutenus. Sa couleur claire permet aussi de ne pas apporter de la chaleur supplémentaire à votre organisme, De plus, il adhère parfaitement au corps, il ne remonte pas au niveau du nombril lors de vos accélérations par exemple. Sa matière évite aussi les frottements au niveau du dessous de vos bras, qui apparaissent parfois lors de vos efforts prolongés. Les plus : petits prix sans oublier la qualité! débardeur à 15,95€ cuissard à 24,95€ soit la tenue à 40,90€   En conclusion l‘ensemble Li-Ning permet d’effectuer vos sorties longues et exercices d’entraînement en toute légèreté. Ensemble qui adhère parfaitement à votre corps sans y rajoute de chaleur. Équipement idéal en été/automne.  

Lire la suite »

Chaleur et entraînement : alerte canicule !

La chaleur est là, et les conseils se multiplient pour ne pas rompre la continuité de la pratique sportive. Partir tôt le matin, tard le soir (moins convaincant), courir la nuit, aller courir sur un tapis en salle climatisée, s’habiller moins, boire plus, prendre des douches froides, tièdes, chaudes, boire du thé à la menthe, manger des sorbets ou encore investir dans une casquette avec ventilateur intégré… On a bien des chances de lire de tout, et pas forcément des conseils très avisés. Vue sous l’angle de la nutrition, on peut sans doute apporter quelques éléments de réponse. Ce que provoque la chaleur En cas de chaleur, on le remarque facilement quand on a la mauvaise idée de partir courir trop tard, le seuil de la fatigue est notoirement abaissé. En effet, la « machine » entre littéralement en « surchauffe », et ne parvient pas à maintenir le même niveau de performance. A vitesse équivalente, la fréquence cardiaque augmente très nettement, et l’intensité perçue est plus élevée. C’est déjà une raison suffisante pour réduire sa vitesse, et donc éviter les séances difficiles dans ces horaires. Le moyen de thermorégulation le plus efficace se met rapidement en route : la transpiration. En effet, l’évaporation de l’eau à la surface de la peau permet de provoquer une perte de chaleur, contribuant à prévenir l’hyperthermie. Donc tout naturellement, les pertes hydriques augmentent… et doivent être compensées. L’hyperthermie, un danger On pense beaucoup à la déshydratation, sujet crucial pour le coureur de longue durée, qui devient encore plus important dans les périodes de chaleur. Mais le danger sous-jacent est celui de l’hyperthermie, qui est en mesure de vous mettre gravement en danger. En effet, si l’organisme fait tout son possible pour rester à la fatidique température de 37,2°C, c’est parce que c’est la température à laquelle ses enzymes fonctionnent le mieux. Au delà, les fonctions de production énergétique, la livraison de l’oxygène, les synthèses, la neurotransmission, tout est perturbé. C’est ce qui explique pourquoi un état de fièvre important (l’hyperthermie commence à 38,5°C) peut provoquer des troubles comportementaux ou des symptômes neurologiques graves. Ainsi un coureur en hyperthermie peut se mettre à délirer, halluciner, et adopter un comportement dangereux pour lui, voire pour les autres. La déshydratation apparaîtra dans un temps plus long que l’hyperthermie, et ne sera pas exempte de dangers, moins immédiats, mais tout aussi importants. Les effets de la déshydratation De la même manière que la température doit être constante pour garantir le bon déroulement des fonctions biologiques, il faut un taux d’hydratation précis pour faire tourner les complexes rouages cellulaires. Le manque d’eau fait changer les conditions physiques et chimiques dans nos tissus et nos cellules, réduisant ainsi leurs capacités fonctionnelles. Cela peut se traduire par une perte d’efficacité de l’effort, une sensation de fatigue exagérée alors qu’on n’a pas de raison d’être en hypoglycémie, et l’impression d’être incapable de se réhydrater, ou d’avaler quoi que ce soit. La perte d’eau augmente la viscosité du sang, réduisant la qualité de l’oxygénation cellulaire, et diminue le volume sanguin, ce qui réduit la pression artérielle. En réponse, la fréquence cardiaque augmente pour compenser le manque. L’oxygénation étant orientée vers les muscles pendant l’effort, l’intestin déjà pénalisé subit encore plus la dure loi de l’effort. C’est ce qui explique pourquoi la déshydratation déclenche un cercle vicieux qui aboutit à l’incapacité à manger ou à boire au bout de quelques heures de course. Moralité : à cause de la déshydratation, tout le monde trinque (pas mal celle là, je devrais la prêter à Yohann). S’adapter à la chaleur…? Pour commencer, il faut savoir que l’organisme a la possibilité de s’adapter à la chaleur, donc vivre trop cloîtré sous la clim n’est pas une solution viable si vous aimez la nature. Par contre, outre le choix de courir de nuit ou tôt le matin, à l’ombre, ou sous la pluie (vous risquez d’attendre un peu), il y a la possibilité de s’hydrater par plusieurs biais. Quand on dit s’hydrater, on pense à l’eau, mais on ne doit pas oublier les minéraux et oligoéléments, connus aussi sous le doux appellatif d’électrolytes, qui accompagnent toujours l’eau, aussi bien quand on la boit que quand on l’élimine. Donc si on perd de l’eau par la transpiration, on provoque des pertes de ces précieux électrolytes, au risque de pénaliser un peu plus les fonctions cellulaires, et de mettre en danger bien plus que la performance. S’hydrater, pas qu’à l’eau Donc pour passer à la pratique, plusieurs solutions doivent être choisies, chacune nous aidant un peu à affronter le réchauffement climatique : Premièrement boire une quantité suffisante d’eau, pas forcément glacée, et tout au long de la journée. Attention à ne pas tomber dans l’excès d’eau, car boire de l’eau pure ne permet pas de remplacer les électrolytes perdus par voie urinaire ou sudorale. Au contraire, on risque de provoquer une hyponatrémie (manque de sodium, dont le rôle est de maintenir l’eau dans les liquides corporels). Pour information, chaque année, des personnes âgées décèdent en buvant trop d’eau, et on a de nombreux exemples d’athlètes qui ont fini leur carrière et leurs jours sur une route surchauffée de la même façon. A l’effort : une boisson d’effort s’impose, mais en version hypotonique. C’est à dire que l’on va veiller à mettre moins de poudre (jusqu’à moitié moins de ce qui est indiqué par le fabriquant, rarement plus) pour la même quantité d’eau. Comme nous avons eu l’occasion de le dire dans les articles précédents, la présence de glucides et d’électrolytes améliore l’absorption de l’eau par l’intestin, ne nous en passons pas ! Une boisson hypotonique sera plus digeste, et plus à même de compenser le manque d’eau sans vous écoeurer. A l’effort toujours : on veillera à boire un peu plus que d’habitude, sachant que la quantité de 300 ml par heure ne peut convenir par forte chaleur qu’à de très petits gabarits… et encore. Considérez que l’on peut aller jusqu’à 1litre par heure de boisson pour certains,

Lire la suite »