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Saintélyon : gagnez votre dossard

gagnez votre dossard pour la célèbre course nocturne de décembre !   En partenariat avec BV Sport France, remportez votre dossard sur l’un des formats SOLO de la Saintélyon. 72km, 44km, 23km ou 12km il y en a pour tous les goûts et tous les niveaux ! Pour jouez, remplissez le formulaire : https://goo.gl/forms/1cswI5mSoJQKi3ga2       Le vainqueur sera tiré au sort. Bonne chance !  

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montre gps tomtom adventurer

Montre GPS TomTom Adventurer, au coeur de l’outdoor

Partez au cœur de l’aventure avec la montre GPS TomTom Adventurer. Découvrez sa présentation et ses fonctionnalités :   Les caractéristiques de la nouvelle montre TomTom Adventurer GPS, boussole et baromètre Ecran anti-rayures durable et super-résistant Connectivité Bluetooth® Smart Étanche jusqu’à 40 m (5 ATM) Jusqu’à 10 heures d’autonomie (GPS activé) et jusqu’à 20 heures en mode Randonnée Commande à bouton unique Capacité de 3 Go de musique Prise en charge des casques (audio HiFi via profils A2PP et AVRC) Prise en charge des formats MP3 et AAC. La nouvelle montre GPS TomTom Adventurer est idéale pour les sports de plein air avec son GPS altimétrique. Les données et les parcours sont en temps réel pour partir à la découverte de nouveaux espaces sans complexe!

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courir en musique

8 conseils pour courir en toute sécurité

Sans tomber dans la paranoïa la plus sclérosante, mieux vaut prendre quelques précautions lorsqu’on court seule. Non pas parce qu’un sadique se cache derrière chaque buisson, mais parce qu’il vaut mieux prévenir que guérir. Quelques astuces très simples suffisent pour s’entraîner sans psychoter. Voici nos conseils pour courir en toute sécurité. Conseil n°1 : Ne partez pas sans prévenir Choisissez qui vous voulez : votre maman, votre meilleure amie, votre voisin, votre patron… Mais dites à quelqu’un que vous partez courir seule, précisez quelle sera la durée approximative de votre sortie et dans quel secteur vous allez. Bien entendu, cela implique d’avertir aussi la personne quand vous rentrez ! Conseil n°2 : Adieu le MP3 à fond dans les oreilles ! Courir en musique, c’est super sympa. Mais avoir les deux écouteurs fichés dans les oreilles, ce n’est pas franchement l’idéal pour savoir ce qui se passe autour de vous. Si vous êtes accro au MP3, ne portez qu’une oreillette et laissez l’autre oreille disponible pour entendre les bruits de votre environnement. Les traileuses ont sans doute déjà constaté qu’être à l’écoute de la nature est tout aussi relaxant que trotter au rythme du dernier tube à la mode. Et ça évite aussi parfois de se trouver sur la route d’un vététiste déchaîné ! Conseil n°3 : Brisez la routine Pour ne pas être repérée facilement, variez vos entraînements ! Changez d’horaire et de parcours afin que personne ne puisse anticiper où et quand vous courez. Par la même occasion, vous éviterez aussi de plonger dans une routine bien souvent synonyme de lassitude et de démotivation. Conseil n°4 : Portez des couleurs vives Bon, d’accord, si vous courez dans les parcs en ville, ce conseil n’est pas ultra pertinent. En revanche, si vous trottez dans les bois, il revêt une importance particulière en période de chasse : pour que les chasseurs ne vous confondent pas avec un chevreuil, portez des vêtements flashy (rose vif, jaune, orange…). Conseil n°5 : Adoptez un mini-portable Qui ne vous a pas conseillé de faire votre footing en emportant votre smartphone « au cas où » ? Si vous êtes fan de la sortie en musique, vous êtes peut-être équipée d’un brassard pour y glisser votre téléphone. Mais si vous ne courez pas avec vos écouteurs, emporter un téléphone devient plus difficile. Sauf si vous adoptez un mini-portable ! Vendus sur internet pour prix modique (autour de 20 €), ces téléphones miniatures sont hyper pratiques : pas chers et tout petits (de la taille d’une carte de crédit), ils permettent de glisser sa carte SIM, de téléphoner et d’envoyer des SMS. L’essentiel en cas d’urgence ! Conseil n°6 : Soignez le choix de votre itinéraire Il y a des évidences : quand on court seule, on évite les parcours peu sécuritaires (longues portions sombres à la nuit tombée, coins isolés facilement accessibles en voiture, quartiers peu recommandables…). Préférez les zones éclairées, relativement fréquentées ou a priori sans danger. Conseil n°7 : Baguez-vous ! Cela fait un peu « surveillance des oiseaux migrateurs », mais c’est une idée à la fois simple et efficace : portez un bracelet d’identification. Il en existe différents modèles : simple bracelet en plastique avec une plaque métallique où vous faites inscrire ce que vous voulez (nom, prénom, personne à prévenir en cas d’accident, groupe sanguin…) ou bracelet-clé USB qui permet de saisir, via des formulaires tout prêts, non seulement votre identité mais aussi des informations médicales. Conseil n°8 : Soyez lumineuse ! On vous a déjà dit que vous étiez rayonnante, mais ce n’est pas une raison pour négliger votre équipement quand vous courez dans la nuit ! Pour être vue des véhicules (vélos, voitures, autobus…), portez des accessoires tels que brassard à LED, vêtements à empiècements réfléchissants, lampe frontale ou encore clip lumineux à accrocher à l’arrière de vos chaussures.   Marie Paturel

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préjugés nutrition sportive

10 préjugés en nutrition sportive

10 vrai-faux en nutrition sportive 1. Pour avoir de l’énergie, il faut des glucides : INEXACT L’organisme est en mesure de produire de l’ATP (la molécule énergétique) à partir du glucose, d’acides aminés ou d’acides gras. Tout est une question d’intensité. Schématiquement, plus on court à haute intensité (pourcentage élevé de sa VMA), plus on utilise les glucides. Mais en dessous de 80% de VMA, les lipides prennent une place qui devient rapidement majoritaire dans la production d’énergie… D’autant plus que l’on s’entraîne à courir avec des réserves de glycogène basses. En réalité, plus on habitue l’organisme à consommer des glucides, moins il sait utiliser les lipides. Ensuite, les glucides ne sont assimilables qu’en faible quantité pendant un effort, ils ne peuvent donc permettre de tenir très longtemps. Tout est donc une question d’intensité, à définir avec l’entraîneur. 2. Les gels sont une source d’énergie rapidement disponible et très digeste à l’effort : FAUX Les gels sont rencontrés dans la plupart des marques de nutrition sportive qui en proposent presque toutes une ou plusieurs versions. La quantité d’eau qu’ils contiennent dépasse rarement les 30%, ce qui est très peu, et fait de ces « liquides » des aliments hypertoniques. En mots plus clairs, ils sont difficiles à assimiler, et resteront plus longtemps dans l’estomac, provoquant un ralentissement du passage des glucides vers l’intestin… Ils nécessiteront donc un temps de digestion plus long que ce que l’on espère. Une utilisation inconsidérée augmente le risque de coup de mou, et de troubles digestifs. Pour obtenir un effet « coup de fouet », on a vu mieux ! Il convient de les utiliser avec prudence, par petites quantités, et de boire au moins un peu d’eau pour qu’ils soient moins concentrés dans l’estomac, et donc plus assimilables. 3. Plus je mange de pâtes (sucres lents) la veille d’une course et plus je pourrai courir longtemps. La théorie du « plus je mange, plus je stocke » ne fonctionne pas à tous les coups. Trop d’aliments surcharge le système digestif qui ne peut pas tout assimiler. Donc rien ne sert de manger beaucoup à la veille d’une course, au contraire. Les glucides restants seront fermentés, et provoquent souvent le « syndrome de la pasta party », c’est à dire une accélération du transit intestinal, et le besoin logique de se soulager pendant la course. Le stockage du glycogène ne peut se faire en un seul repas. Des méthodes existent, organisées sur la semaine précédant une course. Nous aurons l’occasion de l’aborder. 4. La boisson énergétique c’est commercial, de l’eau et du sucre, c’est pareil : FAUX Eh bien non, ce n’est pas juste commercial… Il suffit de lire la formule pour faire la différence, encore que parfois les ingrédients puissent se compter sur les doigts d’une main. De plus en plus de boissons ont des formules complexes, avec des glucides aux vitesses d’assimilations différentes, des minéraux, des vitamines, et dans le meilleur des cas un peu d’acides aminés. Derrière ces innovations intéressantes pour la réputation d’une marque, se cachent des notions scientifiques poussées. Une boisson est utile pendant l’effort, car elle accélère l’absorption de l’eau, compense une partie des pertes minérales, protège l’intestin, et diminue l’inflammation provoquée par l’effort. On ne peut pas en dire autant de l’eau simplement sucrée. 5. Pour éviter de prendre du poids, il faut manger moins gras ; FAUX C’est une légende tenace, et qui semble pourtant si logique ! Le tissu adipeux tant redouté par le poids inutile qu’il représente, contient bien des graisses, mais celles-ci ne sont pas issues d’une alimentation riche en graisse. Les acides gras alimentaires sont utilisées pour de nombreuses fonctions physiologiques, et ne sont pratiquement pas mis en réserve dans le tissu adipeux. Les glucides sont stockés dans le foie et les muscles sous forme de glycogène, mais la place est limitée ! Quand on en consomme trop, ils sont transformés en graisses par le foie, et mis en réserve en prévision de temps de famine… réflexe de survie très ancien !! Une autre substance, dérivée des sucres, se transforme aussi directement en graisse : l’alcool. C’est mortel pour prendre du poids ! Les études sont de plus en plus nombreuses à recommander de ne pas exclure les graisses de qualité de l’alimentation, afin de prévenir… l’obésité, les troubles métaboliques et les pathologies cardiovasculaires et inflammatoires ! 6. Rien de mieux qu’un bon steak comme source de protéines pour la récupération : FAUX La viande bovine, plus particulièrement quand elle vient de l’industrie, n’est pas la plus intéressante pour apporter les nutriments de la récupération. Elle contient des acides gras oméga 6 précurseurs de médiateurs pro-inflammatoires, fatigue l’intestin et le foie, et n’a même pas un profil en acides aminés intéressant. On lui préférera les poissons, ou la volaille fermière, sans oublier tout le reste ! car la récupération n’est pas qu’une question de protéine, loin s’en faut ! 7. Des crampes ? Rien de tel que des pastilles de sel ! ARCHIFAUX ! Les mécanismes responsables de l’apparition des crampes sont complexes, et les physiologistes n’ont pas encore trouvé toutes les réponses. Dans les causes possibles, on trouve le manque d’entraînement spécifique, la déshydratation, et on parle parfois de la déminéralisation. Mais l’apport de pastilles de sel n’a jamais donné le moindre résultat valable. En revanche, elles sont parfaites pour provoquer un appel d’eau dans l’intestin, et une diarrhée dans les quelques minutes qui suivront. Autant s’hydrater correctement, choisir les bons objectifs… et tenir les allures adaptées. 8. Pour performer, rien ne vaut la suppression du gluten : DISCUTABLE On parle beaucoup des méfaits du gluten, et nombre d’athlètes ont vu leurs performances augmenter de manière surprenante après avoir supprimé totalement cette protéine céréalière. Ce n’est pas le cas pour tout le monde, la sensibilité au gluten est très variable d’une personne à l’autre. Bien souvent, les personnes ayant retiré un grand bénéfice de la suppression totale du gluten… en faisaient une consommation largement excessive (plusieurs portions à chaque repas !).

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Immersion avec les athlètes du team

Vivez un week end de stage avec le Team Terre de Running Mizuno et faites connaissance avec les athlètes… Une vidéo en immersion avec les athlètes du team lors de leur stage d’entrainement effectué à La Rosière (73), station partenaire.  

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SUUNTO SPARTAN SPORT connectée pour vous challenger

Design, finition, technologie, robustesse et élégance…c’est ce qui se caractérise entre autre la SUUNTO SPARTAN SPORT,  connectée pour vous challenger ! Idéale pour le trail, les sports de montagne, le triathlon, la SUUNTO SPARTAN SPORT est dotée d’un GPS altimétrique, d’une boussole, d’une appli de coaching…   Bref, le mieux c’est de visionner la présentation assez complète de la SUUNTO SPARTAN SPORT :     Toute la gamme SUUNTO

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POLAR M600, la montre Android

Nouveauté 2016, la marque POLAR sort la POLAR M600, une montre connectée sous Android Wear™. Optimisée pour les sports d’endurance notamment le trail, le triathlon et le running, elle bénéficie de nombreux atouts : GPS, cardio au poignet, autonomie ++, coaching…. Découvrez les fonctionnalités de la POLAR M600, la montre Android :   En savoir plus sur la gamme POLAR

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La coupure annuelle en course à pied

Quelque soit votre niveau, la coupure annuelle en course à pied est indispensable pour progresser et continuer à prendre du plaisir de saison en saison. Pourquoi et comment « couper »? Pour quels bienfaits? Suivez nos conseils pour effectuer une coupure optimale.

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Compressport ALPS Man 2016

La vidéo du triathlon de l’ALPSMAN 2016

Revivez le triathlon Compressport ALPS Man 2016 avec l’athlète Vincent Guardia, ce triathlon de l’extrême dans le décor d’Annecy. Une épreuve particulièrement redoutable avec 3,8km de natation au centre du Lac d’Annecy, 180km de vélo au cœur des Bauges avec l’ascension de 5 cols et un marathon avec une variante « trail » au sommet du Semnoz 😉 De belles images à découvrir :   Consultez le site officiel de l’event

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Jean Joyeux, l’expertise et la passion de la nutrition

 Peux tu présenter? La nutrition est une vieille histoire de famille, j’en ai reçu pour ainsi dire au biberon, mais ma véritable éclosion est relativement tardive. J’ai bifurqué vers la nutrition pendant mes études médicales à Turin, lorsque j’ai traduit « l’alimentation ou la troisième médecine » en langue Italienne. Je faisais alors de l’alpinisme à bon niveau, j’étais le plus souvent possible en montagne : cascades de glace, faces nord, voies rocheuses… J’étais instructeur du club alpin Italien, et je suis passé très près de devenir guide. La passion pour le sport et s’est naturellement greffée sur celle de la nutrition.J’ai donc quitté la médecine pour me lancer dans cette aventure. De 2007 à 2015, j’ai travaillé pour un labo de micronutrition, comme formateur, mais aussi en tant que référent d’une gamme de nutrition sportive. Ce fut l’occasion de beaucoup de rencontres et de lectures, et de longues journées, semaines, mois passés à faire des recherches pour apprendre et comprendre encore… Cette recherche ne cesse d’ailleurs pas. J’ai acquis une grande connaissance des procédés de fabrication, des formules, des micronutriments, et j’aspire à apprendre encore beaucoup. La nutrition est une science qui est en plein renouveau. Le trail se développant à grande vitesse, j’ai aussi pris quelques départs, pour tester les produits, comprendre ce que vivaient les athlètes que je suivais, et sans autre prétention que de courir. J’ai passé quelques lignes d’arrivées, de trails dépassant souvent les fatidiques 42,195 km. Pour moi, l’enseignement autant que le coaching, ne peuvent se vivre pleinement que dans l’indépendance, ce qui m’a poussé à me lancer en libéral récemment. J’enseigne donc dans plusieurs écoles de naturopathie ou de nutrition, je donne des conférences sur tous les thèmes de la nutrition… et je consulte ! 2. Tu es coach et formateur mais aussi spécialiste en micronutrition du sport, quels athlètes conseilles-tu? Tous les sports ont un grand intérêt à travailler la nutrition. Il y a un travail colossal à faire, non pas pour générer plus de performance, mais plus de santé et de stabilité dans la performance. Un sportif en bonne santé assimile mieux ses séances, il finit donc par être meilleur, et dure plus longtemps. Je suis beaucoup de coureurs de trail, dans toutes les distances, mais je me suis un peu fait une spécialité des profils sensibles au niveau digestif, dont beaucoup sont des coureurs d’ultra. Quelques noms peuvent marquer les esprits, comme Julien Rancon ou Maud Gobert que l’on ne présente plus, d’autres moins connus comme Alexandre Mayer (10° cette année à l’UTMB), ou Amandine Ferrato (team NB, 5° au marathon du mont blanc, 2° au marathon des causses, Jean-Claude Mathieu (4° au Tor des géants cette année)… Et bien d’autres encore, moins connus, Je travaille également avec des coureurs sur route, des triathlètes, des grimpeurs, des skieurs-alpinistes, des cyclistes, des skieurs (j’ai travaillé avec l’équipe de France Dames de Ski Alpin de 2011 à 2014), des fondeurs (Maurice Manificat, médaille de bronze aux JO 2014). Je m’occupe aussi de femmes enceintes ou allaitantes, de personnes en surpoids, en troubles métaboliques, pathologies chronique… Le sport n’est pas une limite, et la nutrition concerne tout le monde ! 3. Qu’est ce que la « micronutrition sportive »? est-elle applicable au quotidien par tous et comment? En réalité on parle de micronutrition pour faire une différence avec la nutrition ou la diététique classiques. C’est une approche qui considère moins la valeur calorique des différents nutriments que les rôles fonctionnels des nutriments. Le rôle biologique des vitamines, des minéraux, des acides gras, des oligoéléments, des acides aminés etc… sont regardés à fond, et toujours considérés bien avant l’apport strictement énergétique. Ces connaissances de biochimie et de biologie cellulaire sont couplées avec de solides notions de la physiologie humaine, et de la physiopathologie. A partir de ces connaissances très scientifiques, on arrive à construire un équilibre beaucoup plus précis dans les apports. Du coup la cohérence avec le besoin individuel à un moment donné de la saison est très forte, et le changement alimentaire génère peu ou pas de frustration. 4. Quels sont tes projets professionnels et que vas-tu mettre en place prochainement? J’ai beaucoup de formations à produire et à donner, de mémoires à suivre et d’étudiants ou de professionnels de santé (médecins, sage-femmes, biologistes, pharmaciens, ostéo, kiné, diététiciens…) à former, donc ça me prend beaucoup de temps, en plus des consultations, coachings et conférences. J’aimerais développer chacun de ces aspects. Mon projet est ainsi : apprendre pour moi, encore et encore, transmettre, informer, former, coacher… et partager. Vaste programme ! 5. Tu es le référent nutrition du blog terre de runners, as-tu un message en particulier à adresser à la communauté de runners? J’en aurais beaucoup à faire passer, et j’aurais l’occasion de les développer en particulier en fonction des demandes des « Tdrunners », mais un message me tient à cœur, qu’il faut sans cesse répéter et rénover, mais qui est vieux de plus de 2000 ans : Hippocrate disait « fais que ton aliment soit ton premier médicament »… Plus récemment, Jean Rostand (biologiste, philosophe, humaniste… le fils d’Edmond, l’écrivain) suggérait « Un bon menu vaut mieux qu’une ordonnance ». Pour contacter Jean : Joyeux.Jean@neuf.fr

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