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Aurélia Truel arpente les routes du Raid Napoléon

La « traileuse » (voir son portrait) revient à ses premières amours sur route avec une première expérience sur le Raid Napoléon, une course à étapes de Lyon à Golf Juan. Engagée avec une équipe de chefs d’entreprise de l’AG2R la mondiale et CPME, Aurélia a profité de cette épreuve pour « borner » et accumuler des km sur route en vue de valider une prochaine participation sur un 100km. On revient avec elle sur ce format atypique. Aurélia, comment s’est passée cette semaine sur le Raid? Plutôt bien! Je voulais accumuler de la distance sur route, j’ai été servie! les premiers jours ont été durs avec la chaleur et le cumul des épreuves mais au plus la semaine avançait au mieux j’étais. Le cors s’adapte bien mais il fallait être prudent notamment sur la gestion des ravitos, de l’hydratation, de la récup… Au final je termine avec plus de 160km dans les jambes donc je suis plutôt satisfaite. j’ai pu aussi apporter mon expérience et des conseils à mes co-équipiers qui, avec leur détermination, motivation et envie sont venus à bout de cette folle semaine alors que la plupart d’entre eux ne courent que 2 fois/semaine.   Et côté ambiance? C’était super! Une très bonne ambiance déjà au sein de l’équipe malgré le fait que personne ne se connaissait mais. Mais également au sein de l’organisation avec les motards, les chauffeurs, les bénévoles. tout le monde s’implique pour offrir une prestation impeccable. C’est un peu l’ambiance tour de france, il y a beaucoup de convivialité même si on reste compétitif durant les étapes. Le parcours est aussi très beau donc on prend du plaisir avec les paysages. Peux tu nous en dire plus sur ton objectif de 100Km? J’ai participé à un 60km en Ardèche en mai pour valider la distance. L’objectif du raid était donc de pouvoir cumuler les km sur une semaine en gérant mon rythme. J’aurais pour objectif un 100Km en septembre au Pays-Bas en visant d’environ 8h15 ce qui me permettrait de viser une qualification. Je me préparerais en conséquence cet été en participant notamment à la classique « Marvejols-Mende » puis j’irais en stage à Font-Romeu. En fonction de la récup je participerais aux Templiers puis à la Saintélyon en relais.

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Raid Napoléon, embarquez avec le capitaine !

Relancé depuis 2 ans, le Raid Napoléon est une course par étape (cette année de Chaponnay à Golf Juan) Jérôme Finot, membre du team TDR Lyon a participé à l’épreuve sous les couleurs de l’association Docteur Clown (qui vient en aide aux enfants malades). Après son expérience l’an dernier en tant que coureur, c’est sous la casquette de capitaine que Jérôme a pris part à cette édition 2017. L’occasion d’en savoir plus sur cette expérience.   Jérôme quel était ton rôle? D’abord il y a eu tout un travail d’analyse du parcours et du profil des coureurs pour pouvoir « positionner » l’ordre de passage car une fois établi on ne peut le changer. Nous souhaitions pallier les petites faiblesses de l’équipe en composant avec les profils plus solides. Au final on s’en sort bien avec une 5ème place au général…! Ensuite il y a différents rôles tout au long de l’épreuve: il y a une grosse partie en lien avec l’organisation pour faire le point le matin avant les épreuves, prendre les consigne,s les redispatcher auprès des coureurs, faire respecter les consignes liées à la logistique, au stationnement…et bien sûr un rôle en relation avec les coureurs qui doivent juste penser à courir et être prêt pour leur relais (encouragements, gestion des ravitos, assistance..). Comment a pu te servir ton expérience de l’an dernier? En ayant participé en tout que coureur, je savais à quoi m’attendre et j’ai pu appréhender mon rôle de capitaine sereinement. C’est vraiment une approche centrée sur la gestion. Par exemple la particularité cette année était que les équipes comptaient 5 coureurs au lieu de 7  ce qui amène les coureurs à plus courir (voire à doubler certains jours)..il faut être vigilant sur les récup’ car les risques de blessures sont là. Certains ont couru près de 140km au total. On était plus sur des profils de marathoniens 😉 A refaire? Bien sur! D’abord pour l’ambiance à la fois au sein de l’équipe mais aussi sur le raid en général avec les 13 autres équipes. Il y  a de la rivalité liée aux épreuves sportives mais aussi une belle solidarité et une vraie cohésion. Je suis ravi d’avoir vu les 2 aspects mais si je le referais ce serait en courant 🙂 Le fait de courir aussi pour une association rend le défi intéressant et valorise les acteurs qui s’engagent.. chapeau d’ailleurs aux clowns présents à nos côtés.

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On a testé les lunettes R2

Dès que les premiers rayons de soleil pointent il faut penser à protéger sa vue y compris et surtout en sport. Julia a eu l’occasion de pouvoir tester les lunettes de soleil R2 distribuées par Outdoor Factor. Voici ses retours: « C’est à l’occasion d’un séjour dans le sud (où le soleil a tendance à piquer les yeux) que j’ai testé les lunettes R2 Cheeath. Consciente du fait qu’en montagne ou sur certains terrains nature (ou selon les conditions), il est nécessaire de porter des lunettes, je ne le fait pas car cela n’est pas forcément confortable. Je profite donc de ce test pour casser mes habitudes. Des lunettes qui se font oublier Pour m’habituer, je décide donc de porter une première fois les lunettes sans pratique sportive… Je suis déjà agréablement surprise par le confort : les différentes zones de contact ne blessent pas, les verres « n’appuient » pas et les lunettes sont plutôt légères. Les verres de catégories 3 protègent plutôt bien. Ensuite vient le temps des tests « terrains » : En vélo : les yeux sont bien protégés, il n’y a pas d’espace pour que les poussières et être objets volants viennent se glisser insidieusement… En course à pied : j’ai testé en séance de fractionné, lors de footing long avec et sans dénivelé, également lors de sorties plus cool et de randonnées. Même par grosse chaleur et avec la transpiration, pas de buée qui se dégage et les lunettes restent bien en place. La protection est assurée quelques soit la luminosité. Rapport qualité – prix : 39,39€, difficile de faire mieux !     Un test donc positif, difficile d’ailleurs de se passer des lunettes une fois que l’habitude a été prise 🙂  » Nos conseils : Veillez à ce que les lunettes soient adaptées à votre morphologie et à votre pratique. N’hésitez pas à demander conseils en magasins spécialisés.

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Pourquoi essayer la gourde à la main quickshot Nathan?!

Très tendance Outre-Atlantique même sur des épreuves d’Ultra Trail, courir avec une gourde à la main est une habitude que nous commençons seulement à découvrir en Europe. Pourquoi essayer la gourde à la main quickshot Nathan?! Voici 5 bonnes raisons d’adopter cette solution d’hydratation. Cela évite de courir avec une ceinture et permet donc d’alléger le centre de gravité. Le fait que le poids soit vers l’avant cela facilite l’adoption d’une posture plus efficace. 2. Un gain de temps au moment de boire, car la boisson est à bout de bras. Il n’est donc pas nécessaire d’aller chercher la flask dans le dos ou de défaire la paille de la poche à eau. L’action de s’hydrater se fait dans le mouvement. 3. La facilité de recharger le contenant au moment du ravitaillement. 4. La gourde quickshot plus contient 300ml d’eau. En embarquant une gourde à chaque main, il est possible de varier la boisson. Par exemple, une gourde avec du glucose, l’autre avec de l’eau nature. 5. A portée de main et toujours dans le champ de vision, il est plus facile de contrôler le volume de boisson restant Courir avec une « quickshot plus » Nathan a ses avantages surtout dans le cadre d’une sortie courte à moyenne avec la possibilité de se ravitailler. C’est juste une habitude à prendre.   Découvrez la gamme NATHAN  

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test VMA décines

Évaluez votre vitesse avec TDR Décines

A quelle vitesse courrez-vous? C’est l’occasion de le savoir en passant un test VMA organisé par votre magasin Terre de running Décines, en partenariat avec le club d’athlétisme du DMA et de Fabien Antolinos, athlète du team trail Terre de running Mizuno. Un test VMA pour quoi faire? Le test VMA vous permet d’évaluer votre vitesse avant d’entamer un cycle d’entrainement, pendant  une phase d’entrainement afin de réajuster vos séances si besoin ou au terme d’un cycle pour évaluer votre progression quelque soit votre pratique (trail, route, triathlon…) Le test VMA proposé le 27 juin sera par VAMEVAL Adapté : Augmentation de 0.5km/h toutes les minutes, départ à 8km/h   Animé par Fabien Antolinos L’athlète et traileur Fabien Antolinos encadrera cette séance et vous fera part de toute son expérience et de ses précieux conseils. Fabien a notamment été plusieurs fois sélectionné en équipe de France de trail (champion du monde par équipe), a terminé 5ème de l’UTMB, a remporté les Templiers… Pour autant, il maintient des séances d’entrainement sur piste pour entretenir sa vitesse net participe régulièrement au cross. Fabien est également professeur de sport et coach au club du DMA.   INFOS PRATIQUES Le test aura lieu le mardi 27 juin Lieu : Piste d’athlétisme du parc Raymond Troussier à Décines Deux sessions : –          19h30 rdv au magasin à 19h –          20h rdv sur la piste directement à 19h30 Places limitées à 25 places par session Réservation par téléphone au 04.78.89.95.54 ou par mail : decines@terrederunning.com en précisant l’heure de la session Suivez l’actu du magasin sur facebook Terre de running Décines

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Fleurianne, adepte des samedis du jogging

Fleuriane, participante assidue des Samedis du jogging et des testings du jeudi soir au magasin de Lyon est une jeune étudiante en droit de 27 ans, ancienne nageuse de bon niveau (15 années de pratique et maître nageur), originaire de Saône et Loire. Elle va nous parler de ses débuts plus que prometteurs dans la course à pied et nous faire partager sa passion du running. Comment es-tu arrivée à la pratique de la course à pied ? Pratiquant la natation en club pendant une dizaine d’année j’ai toujours complété mes entraînements par du footing, que ce soit à l’école ou en loisir, sans objectif particulier. Tu es plutôt route ou trail ? Venant de Saône et Loire, j’ai toujours eu un gros penchant pour le Trail, qui s’est accentué au fil des années. Actuellement combien d’entraînements fais-tu par semaine ? Je cours entre 4 à 5 fois par semaine depuis 3 mois. Qu’est-ce qui a fait basculer ta pratique de runneuse occasionnelle à runneuse régulière ? Etant aussi adepte de sport de glisse, je cherchais un sac de ski pour la fin de la saison et je me suis rendue un peu par hasard dans un magasin de sport près de chez moi (Terre de Running Lyon). Après un échange avec l’un des vendeurs j’ai appris l’existence d’entraînements et de testings produits gratuits. Je me suis donc dit qu’au lieu de courir seule sur les quais, (entrainement assez répétitif et un peu lassant pour une adepte des grands espaces verts) je pourrais peut être rencontrer un groupe de runners sympathiques et pouvoir bénéficier d’un coach pour progresser. Je me suis donc rendu un jeudi soir au testing brooks et nous avons fais un run sympa dans certains spots que je ne connaissais pas sur la colline de Fourvière, avec des petits exercices spécifiques et un groupe très accueillant, solidaire et chaleureux. Suite à cela j’ai pris la décision de m’inscrire pour le Lyon Urban Trail en format 8 km. Qu’est-ce qui te fait vibrer dans ta vie de runner ? Depuis que je me suis mise réellement à la course a pied, je compare souvent ça à une forme de drogue positive. Je me lève running, je discute running avec mes amis, je mange running ( le pot de glace de 500 ml ça compte ?), j’ai réappris à me faire mal pour dépasser mes limites. Quels sont tes plus beaux souvenirs de courses ? Pour le moment je n’ai participé qu’à une seule course donc je dirais le Lyon Urban Trail malgré des conditions assez difficile (pluie et vent) j’ai pris beaucoup de plaisir. La course s’est plutôt bien passée, j’ai accroché une 170ieme place au scratch et une 11ième place dans ma catégorie. Je me suis donc dis pourquoi pas s’entrainer sérieusement pour encore gagner quelques places qui sait ? Quels sont tes objectifs pour les semaines et mois à venir ? Je serais à l’Ultra boucle de la Sarra en format 6h relais à 3 (résultats : 7ieme relais féminin avec Maud et Lucie de Sport and run), puis le 11 Juin le Trail de la fontaine les ânes (18 km) et pour finir le 26 juin le Trail de Volvic (40 km). Qu’est-ce qu’un bon entraînement pour toi ? Sportivement tout d’abord, repousser mes limites, être bien accompagnée et pouvoir se laisser guider pour se concentrer sur ses sensations. Mais avant tout se faire plaisir, c’est le plus important. Peux-tu nous présenter et nous expliquer le fonctionnement des samedis du jogging ? Les samedis du jogging c’est une sortie qui part du magasin Terre de Running à Bellecour avec un petit groupe de runners de tout âge, tout niveau qui viennent faire une séance conviviale, soit des fractionnés soit du travail de montée/descente sans pression ni compétition pour une durée d’une heure.   Terre de running Lyon : 7 rue de la barre Suivez les actu du magasin sur Facebook Terre de running Lyon

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Test concluant des chaussures Veets

On retrouve le retour d’expérience de Nicolas, team Terre de running Antony qui a testé les chaussures de la marque VEETS. « VEETS (abréviation de Vendée Technical Shoes) est une nouvelle marque de chaussures 100% française. Il fait bien plaisir de voir qu’en France, on sait aussi inventer, créer, croire qu’on peut réussir dans ce monde bien garni qu’est le Running. C’est un joli pari courageux de lancer sa propre marque. Alors je veux y croire ! C’est évidement grâce à mon ami Arnaud gérant du magasin Terre de Running d’Antony que je vais essayer et tester la paire de chaussures Veets transition 1.0. Il me connait bien et sait qu’elles vont me plaire à coup sur !! C’est lors d’un week-end choc d’entrainement effectué dans les Vosges, que j’ai pu les essayer. Quoi de mieux pour un test running que les sentiers magnifiques de cette belle région !! Je me suis donc prévu une petite sortie d’1h30 dans les hauteurs de Plainfaing (petit village Vosgien où il fait bon de courir) Le parcours sera mi-route mi-chemin, peu technique et avec un peu de déniv (+400m pour 15km). C’est tout a fait le genre de terrain que j’affectionne. J’ai hâte de voir comment les Veets vont réagir. Confort, sécurité et maintien Une fois enfilées, déjà au premier coup d’œil. Elles ont le style..et ça c’est déjà une bonne chose 😉 Pour le test, J’ai choisi la taille 45. Des les premiers hectomètres sur la route, mon pied a trouvé sa place. Ayant le pied fin, je me sens bien maintenu sur l’avant de la chaussure et chose plutôt surprenante il y a un super maintien cheville. Ce qui est plutôt rassurant pour ma sortie, car il y aura quelques descentes de sentiers. Je suis un coureur universel avec une attaque avant pied. J’ai pour habitude de courir avec des chaussures légères et avec peu d’amorti. Avec un drop de 7 et un poids de 270g, dès les premiers hectomètres, je me sens aérien et chose assez nouvelle pour moi, je me sens confort. On ressent très bien l’ambition de Veets d’allier le confort et dynamisme. En « sécurité » grâce au maintien de ma cheville, je n’ai aucune crainte à accélérer sur les portions devenu un peu plus accidentées. La semelle résistante et « accrocheuse » me procure une sensation agréable au contact du sol, qui me pousse à mieux courir. A courir léger. Alors je déroule en descente tel un lynx des Vosges ! Apres 1h30 sous un soleil de plomb, pas de douleur ou d’inconfort à signaler. A la recherche d’une paire de chaussures mixtes voire d’une paire de chaussures dite « confort » pour le triathlon de l’Alpes d’Huez., je me dis que j’ai peut être trouvé LA bonne chaussure. De plus je me verrais bien préparer un marathon pour la fin de saison, (marathon de Reims), et je me dis que courir avec les transitions 1.0 me permettrait de me préparer sereinement sans blessure. J’attends d’ailleurs avec impatience une version type trail. Je suis persuadé que Veets saura me faire vibrer sur des terrains plus techniques et escarpés. » Retrouvez le test en vidéo :     La marque Veets est disponible dans les magasins Terre de running de Lyon, Puteaux, Antony et Toulon.

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Patrick Prieur, coach et coureur passionné

Pur produit normand, coach sportif depuis une dizaine années, fondateur de la société Sport and Run, Patrick Prieur dit aussi Paddy coach Sportif encadre notamment les samedis du jogging. Faisons connaissance avec ce coureur passionné et passionnant. Comment es-tu arrivé à la pratique de la course à pied ? Je suis ancien pratiquant d’arts martiaux à haut niveau, lorsque je suis arrivé à Lyon il y a 10 ans je n’ai plus eu le temps de pratiquer cette activité. Ne pouvant pas rester en place et les séances avec mes clients ne suffisant pas, je me suis tout naturellement tourné vers une activité que je pouvais pratiquer partout à moindre coût. Depuis combien de temps cours-tu ? J’ai toujours plus ou moins couru depuis que je fais du sport ;-). Mais je m’y suis mis sérieusement il y 6 ans environ. Tu es plutôt route ou trail ? Plutôt trail, je préfère les grands espaces ouverts et les terrains changeant que le bitume. Combien d’entraînements fais-tu par semaine ? En dehors des entraînements avec les clients j’essaie de entrainement entre 2 et 3 fois par semaine. Qu’est-ce qui te fait vibrer dans ta vie de runner ? Ce qui me fait vibrer c’est de toujours pousser un peu plus loin les limites ! C’est ça qui est bien dans le monde du running, c’est qu’il n’y a de limites que celles que vous vous imposez. Mais c’est une activité qui n’est pas figée : piste, cross, road, trail, course d’orientation, canicross… Les possibilités sont infinies, c’est ça qui me fait vibrer. Quels sont tes plus beaux souvenirs de courses ? Il y a d’abord les réalisations de mes athlètes dont je suis fier, quelque soit leur niveau et leurs objectifs. Sur un plan personnel je dirais que c’est la première fois que j’ai fait un trail. Je me souviens c’était le Trail de Cabornis en 2011, j’en ai bavé sur le petit 25km : conditions difficiles, manque d’entrainement… Bref c’est pas le plus simple pour démarrer. A l’arrivée je me suis dit plus jamais… Puis au final je me suis rendu compte que je disais toujours ça à chaque fin de course et je reviens toujours ! C’est que je dois être un peu maso sur les bords. Quels sont tes objectifs pour les semaines et mois à venir ? Cette année est une grosse année en terme d’objectifs. Tout d’abord on relève le défi, avec un de mes compères de course, de la Pierra Menta Été en Juin (70km et 7000m D+), une petite grimpette du massif de Belledonne lors de l’UT4M en Août (mais plus pour la vue, 40km et 2600m D+). Le second gros evènement est le Grand Trail des Templiers (76km et 3550m D+). Il y aura aussi des petites courses de préparation, notamment la Fontaine des Anes (18km et 670m D+) en Juin dont Terre de Running est partenaire, ainsi que le Trail du Sancy en septembre (33km et 2020D+). Qu’est-ce qu’un bon entraînement pour toi ? Le meilleur entraînement reste celui dont on ressort fier ! Il y a des séances qui passent mieux que les autres, comme dans toute activité sportive. Le bon entraînement c’est celui que tu termines en sachant qu’il laissera des traces, que ça a été dur mais qu’au final tu as pris un pied d’enfer. Si cet entraînement est partagé avec les potes c’est encore mieux ! Peux-tu nous présenter et nous expliquer le fonctionnement des samedis du jogging ? Les samedis du jogging c’est un rendez bimensuel au départ du magasin Terre de Running Lyon le samedi, donc, à 10h du matin. Le but de ces entraînements c’est de regrouper des coureurs de tous les horizons, débutants ou passionnés et de leur faire découvrir des formes d’entraînements qu’ils ne pratiquent pas forcément seuls de leur coté ou qu’ils ne connaissent pas du tout. Les séances durent entre 1h et 1h15 et peuvent tout aussi bien être composées de préparation physique générale (renforcement musculaire, travail fractionné, sortie à la découverte des meilleurs spots de Lyon…), bref le meilleur moyen reste de venir tester 😉 – voir notre article Qu’est-ce que le samedi du jogging apporte aux runners ? Comme je l’ai dit précédemment c’est avant tout apprendre à s’entraîner en course à pied avec un groupe de personnes, ou même l’occasion de se mettre au running pour d’autres. L’ambiance y est conviviale et l’entraide présente. Qui peut participer à ce genre d’entraînement ? Tout le monde peut y participer quelque soit l’age, le sexe ou le niveau que vous avez en running. Il y en a pour tous les goûts et pour toutes les couleurs ! Mais encore une fois le meilleur moyen de vous faire une idée c’est encore de venir tester !   Les prochains rendez-vous avec Patrick: samedis du jogging : samedis  3 et 17 juin  – RDV 10h au magasin Run urbain du jeudi : jeudi 22 juin – rdv 19h au magasin Plus d’infos sur facebook Terre de running Lyon     Pour contacter Patrick Prieur – 06.89.98.99.07 – patrick@sportandrun.com www.sportandrun.com

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Portage : gare aux garrots !

Le trail a propulsé les solutions de portage au premier plan. Désormais le marché regorge de sacs d’hydratation, porte-bidons, ceintures, brassards…Face à cette profusion, la runneuse ne sait plus où donner de la tête. Voici quelques conseils pour choisir le portage le plus adapté… à vous ! Un portage pour quelle(s) pratique(s) ? Avant tout – et comme souvent – la première question à vous poser est : de quoi ai-je exactement besoin ? Pour y répondre, analysez votre pratique : courez-vous uniquement des distances courtes ou au contraire des ultras ? Aimez-vous emporter avec vous de l’eau, des clés, des barres énergétiques, un coupe-vent, un téléphone…? En fonction de ces premiers éléments, vous pourrez déjà éliminer un certain nombre de produits. Ensuite, gardez à l’esprit deux critères fondamentaux en matière de portage : – le confort, – la praticité Bien entendu, il y a de fortes chances pour que vous soyez aussi attentive au design et au prix, mais essayez – dans la mesure du possible – de rendre prioritaires les deux critères clés susmentionnés. Quand on court, rien de pire qu’un sac qui ballotte et frotte, une ceinture qui coupe la respiration ou un bidon qui se fait la malle en pleine descente ! Les sacs d’hydratation En randonnée pédestre, le bon vieux sac à dos permet d’emmener tout le nécessaire pour s’habiller, manger, soigner un bobo, grimper… En course à pied – et plus particulièrement en trail – les besoins sont quasiment identiques, mais un paramètre s’invite à la fête : un sac d’hydratation doit se faire oublier lorsque l’on court. En d’autres termes, il doit être : – léger (pour ne pas constituer un handicap car plus on porte du poids, plus on dépense de l’énergie), – stable (pour ne pas ballotter dans le dos de manière désagréable et ne pas provoquer de frottements), – fonctionnel (pour qu’on ne se contorsionne pas quand on veut attraper un gel ou qu’on veut simplement boire !). Définir vos besoins permet d’éviter l’achat d’un sac trop petit ou trop grand. Un contenant trop grand donc utilisé à moitié vide ne sera pas optimal car votre matériel aura tendance à bouger à l’intérieur du sac. A l’inverse, un produit trop petit vous contraindra à faire des choix et, parfois, à renoncer à certains accessoires importants pour votre sécurité. Dans tous les cas, essayez toujours plusieurs modèles avant achat. Les marques proposent désormais des références spécifiquement conçues pour les femmes avec une ergonomie adaptée à la morphologie féminine (bretelles, largeur…).   Idéalement, un sac d’hydratation doit être : – parfaitement ajustable (boucles de serrage, élastiques réglables…), – pratique (accès facile aux poches), – doté d’une poche à eau ou de flasques – plaqué contre votre dos – placé en haut de votre dos et non en bas comme un sac à dos de randonnée classique. Il existe des sacs en forme de gilets (présence d’un filet sur le torse – des modèles souvent légers et ergonomiques). Certains coureurs adorent, d’autres détestent. D’où l’intérêt de tester en magasin ! Les conseils d’un vendeur spécialisé vous aideront sans aucun doute à faire le bon choix.   Les porte-bidons Petites flasques ou gourdes réparties tout autour de la taille, grand bidon positionné dans le dos et souvent en biais pour faciliter son accès, poches pour ranger du petit matériel, boucles pour placer des gels énergétiques… Les marques rivalisent d’ingéniosité ! Là encore, c’est avant tout la définition de vos besoins qui guidera votre choix : si vous buvez peu, ne vous embarrassez pas d’un bidon de 750 ml ! Si vous aimez alterner les boissons (eau pure / eau + poudre énergétique), préférez les ceintures à multiples flasques qui vous permettront d’emporter différents types de liquides. Comme pour les sacs d’hydratation, le point crucial reste le confort. Nos conseils : Essayez toujours un porte-bidon en magasin pour vous assurer de sa fonctionnalité et de son positionnement sur votre taille. Sautillez avec le porte-bidon dans la boutique (même si c’est ridicule !) afin de vous rendre compte du ballottement, du serrage… Soyez attentive au type de ceinture : largeur, réglages… Certains fabricants développent désormais des ceintures à double scratch qui permettent d’améliorer l’ajustement et d’éviter tout cisaillement à la taille. L’avantage du porte-bidon par rapport au sac d’hydratation est qu’il libère le dos : on transpire moins, la liberté de mouvement est plus grande et le dispositif de portage est plus léger. Par contre, on emporte moins d’eau et moins de matériel. A noter : certaines marques proposent également des porte-bidons manuels. Une sangle permet de porter un petit bidon à la main, le plus souvent de 33 à 75 cl. Pratiques pour les sorties plutôt courtes ou les épreuves d’une dizaine de kilomètres ! En revanche, il faut accepter d’avoir une main occupée en permanence et de supporter la petite fatigue supplémentaire induite (en effet, des études ont montré que porter un poids au bout du bras engendre une plus grande fatigue par rapport au même poids porté à la taille ou dans le dos). Les ceintures Pour ne pas les citer, nous classons ici les ceintures de type Flipbelt, Sammie (Compressport), …. Plus ajustées que les porte-bidons, elles présentent un intérêt non négligeable : elles ne cisaillent pas le ventre. Larges et stretch, elles épousent la forme du corps. La Flipbelt permet d’emporter le minimum et notamment une flasque souple pur pouvoir s’hydrate,  une clé, un téléphone…. La Sammie permet d’emporter un peu plus de choses tout en proposant une bonne accessibilité et une contenance importante. Le seul bémol tient peut-être au fait que ces ceintures, collées au corps, peuvent tenir un peu chaud. Encore une fois, à essayer/tester au magasin ou lors des sorties testings proposées par vos magasins. Les brassards C’est incontestablement l’accessoire urbain le plus « banal » : le brassard pour courir avec son smartphone et, évidemment, les oreillettes qui vont bien ! Soyez vigilante sur le système de serrage, la taille du compartiment à téléphone, la présence ou non d’une petite poche pour y

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Résultats Du Trail Germinois 2017

Une Belle épreuve ne devenir avec une participation de plus de 300 concurrents toutes épreuves confondues. Bravo à tous les participants. Les résultats: Trail Germinois 10 km: trail-germinois-2017-general-10-km Trail Germinois 5 km: trail-germinois-2017-general-5-km

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