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Julien Masciotra lancé sur 2019 !

Le coureur du DMA, également membre du team Terre de Running – Terre de Running Décines, Julien Masciotra a lancé sa saison. Avec une victoire sur le cross court lors des championnats départementaux du Rhône et une 19ème acquise dans les labours du Mans lors du très relevé Cross Ouest France, Julien visera les France de  cross avec l’objectif de confirmer sa superbe 20ème place de l’an dernier. Sur sa course au Mans, il nous précise que « les sensations n’étaient pas exceptionnelles. L’entrainement a été chargé ses dernières semaines ce qui a engendré un peu de fatigue et un petit rhume est venu contrarier tout ça. Le classement est moyen au vu des séances effectuées mais il y a du positif et des motifs de satisfaction dans ce contexte très relevé où il aura fallu se battre jusqu’au bout ». Julien nous fait part de ses objectifs et de sa préparation de début d’année effectuée en stage au Portugal. J’ai pour habitude, depuis quelques années, de partir en stage d’entraînement, sur une durée plus ou moins longue, en période hivernale pour chercher des conditions plus adaptée pour un bloc d’entraînement quantitatif et qualitatif. Cette année c’était le Portugal pendant 10 jours. L’occasion d’avoir du soleil et de faire quelques bonnes séances nature et piste sans se soucier du froid ! Et pour regagner en qualité pour les cross de cet hiver avec comme objectif final les France (confirmer la place de l’année dernière). Tu avais entamé une collaboration avec Run&Sens (préparation physique et mentale), qu’en sera-t-il en 2019? Effectivement, je continue avec Run & Sens surtout pour la préparation physique en ce moment, toujours de le but d’optimiser mes recherches de performance en cross puis sur route. Comment sera orienté ton programme sportif ? Voici les prévisions jusqu’au printemps : – la saison de cross avec tous les championnats (y compris départementaux sur le cross court, le reste sera sur le long) => Objectif France de Cross le 11 mars à Vittel – 20 janvier : cross ouest France au mans – fin mars ou début avril : semi marathon ( le lieu reste à définir en fonction de la meilleure densité que l’on pourrait trouver aux alentours de 1h04’) – éventuellement les France de 10000m sur piste suivant le positionnement du semi marathon dans le calendrier – pour la suite je ne sais pas encore : ce sera suivant le marathon choisi pour début ou milieu d’automne => A relire, notre article sur son Marathon à Fracfort couru en 2h18 Tu cours sous les couleurs d’adidas, peux tu nous faire un retour sur les pointes Adidas XC ? J’ai effectivement la chance d’être soutenu par adias et Terre de Running notamment via le magasin Terre de Running Décines cette année. Ce qui me permet d’avoir des partenaires comma adidas et BV Sport. J’en profite pour remercier mes autres partenaires : Run & Sens 74 pour la prépa physique et mentale Ergysport pour les produits de nutrition sportive et les compléments Autoroutes et Tunnel du Mont-Blanc, mon employeur qui m’aide financièrement Au sujet des pointes,  le modèle XC sont justes géniales ! Elles sont très confortables et proches du pied ! Parfaitement adaptées aux appuis spécifiques cross et très réactives !   On reverra Julien rapidement puisque ce dimanche 27 janvier auront lieu les championnats régionaux de cross. Bonne saison !

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Portrait de Gérant – TDR Dreux

Il a ouvert sa boutique il y a quelques mois ! Découvrez le portrait de Jonathan, gérant du magasin Terre de Running Dreux (28) Un bel exemple de reconversion pour un passionné de running.   L’occasion de lui rendre visite pour découvrir son magasin ainsi que l’expertise et les conseils TDR : Vous avez un projet et vous souhaitez devenir affilié Terre de Running ? Contactez-nous par mail à l’adresse contact@terrederunning.com ou au 04 74 70 72 04.

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Le programme 2019 de Thibaut Garrivier

Le coureur du team Hoka One One – Terre de Runing Lyon , Thibaut Garrivier nous présente son programme 2019. De retour à l’entrainement après sa coupure post-Saintélyon, il reprend avec les cross. Il vient de terminer 7ème du Chpt Départemental du Rhône. Le programme est indicatif et volontairement chargé car l’orientation de la saison va dépendre des résultats sur les premières courses. ==> L’objectif principal est le classement général de Skyrunning et la CCC. Janvier/Février : Cross longs 17/03 : Ventoux / 46k 15/04: Drôme-Sélection Mondiaux de Trail / 40k (1/05 : Transvulcania / 75k) (19/05 : Skyrace Matheysin / 29k) 26/05 OU 1/06 : Madère / 56k OU Zegama / 42k 30/06 : Marathon Mont Blanc / 42k (14/07: Buff Epic Trail / 42k) 10/08 : Championnats de France Trail long / 50k (23/08 : Mattehorn Ultracks / 24k?) 1/09 : CCC / 101k (5/10: Sky Pirineu / 36k) 19/10: Templiers / 76k ou SkyMasters / 37k Commentaires de Thibaut sur la saison 2019 : « L’idée pour 2019 est de repasser sur des distances plus courtes pour pouvoir plus courir, car j’ai assez mal vécu la 2e moitié 2018 avec énormément de charge d’entraînement et aucune course réussie. J’aime les courses et j’ai envie de pouvoir en profiter sans devoir prendre 2 mois de repos entre chaque. » Après avoir pris une disponibilité de 6 mois (il est interne en radiologie), il a repris le chemin du travail à L’Hôpital. Comment allie-t-il travail et entrainement? « La reprise à l’hôpital m’a contraint au retour à un rythme plus dense, avec forcément une diminution de la charge d’entraînement, d’autant que je commence à travailler sur ma thèse et que cela va venir pimenter encore le planning… Pour l’instant, en cette époque hivernale cela n’a pas encore trop de répercussions puisque le volume hebdomadaire dépasse rarement les 8-10h d’entraînement: cela me permet de récupérer de la fin de saison et de refaire du rythme dont j’ai bien besoin tous les débuts d’années ». Côté partenaires : « En 2019 j’ai la chance de rester avec HOKA ONE ONE, ce qui permet d’aborder plus sereinement la logistique des courses et des entraînements et de pouvoir bénéficier de l’esprit et de l’expérience du groupe notamment sur les rassemblements comme nous allons (re)faire à Majorque début mars ! En plus de cela, les partenariats avec Compressport et  le magasin Terre de Running Lyon sont sont des avantages en plus pour la récupération et l’alimentation notamment ». Et côté entrainement ? Pas de changement de ce point de vue puisqu’après une première saison sous les conseils d’Etienne Diemunsh plutôt satisfaisante (+65% de volume en 2018 par rapport à 2017), j’espère que l’absorption de la charge et la poursuite dans cette voie se confirmeront avec des résultats probants en 2019. La répartition se fera toujours de la même façon, c’est à dire le soir en semaine ou sur les repos de garde que j’essaie d’exploiter pour faire les grosses séances. Probablement un gros bloc au mois d’août pour la CCC et des weekends de charge lorsque je ne suis pas de garde. Comment se compose une semaine type ? En ce début d’hiver, voici un exemple d’une semaine type : Lundi: Jogging 50′ + PPG Mardi: échauffement + séance côtes 6x 120m avec exercices de placements Mercredi: Vélo 1h30 ou HT 1h Jeudi: VMA: 2x 7x400m Vendredi: Footing puis 8/6/4/2/1/2/4/6/8 minutes allures progressives Samedi: GARDE Dimanche: Cross   On suivra Thibaut de près….Bonne saison !

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Nouvelle Appli Suunto

Depuis avril dernier, Suunto a lancé une nouvelle Application pour procurer une meilleure expérience aux utilisateurs et à la communauté Suunto. L’application est disponible sur IOS et Android. Téléchargez-la ! NOUVELLE APPLICATION SUUNTO Quelles sont les principales fonctionnalités de l’application? connexion avec les services sportifs essentiels, en commençant par Strava, pour que vous puissiez partager et analyser vos sports avec les communautés de votre choix ; partage personnalisable sur les réseaux sociaux pour vous permettre de choisir quelles données d’entraînement vous voulez partager, quand et comme vous le souhaitez ; cartes de chaleur et planification d’itinéraires spécifiques à l’activité (Suunto 9 et Spartan) pour vous permettre d’accéder à de nouvelles aventures, où que vous soyez ; Personnalisation des modes sportifs (Suunto 9, Suunto 3 et Spartan) pour que vous puissiez choisir les données que vous voulez voir s’afficher sur votre montre pendant votre entraînement ; compatibilité de base pour Ambit3 et Traverse, Traverse Alpha et les ordinateurs de plongée EON. Liste non exhaustive et en cours d’évolution et d’amélioration. FERMETURE DE LA PLATEFORME MOVESCOUNT C’est dans ce contexte que la précédente plateforme, Suunto Movescount fermera, au plus tôt au début de l’été 2020. Suunto vous tiendra informés et répondra à vos questions pour vous aider et vous accompagner tout au long de cette transition. Vous  pouvez être informés par e-mail et sur suunto.com/transition  

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Anti-bonnes résolutions running : bonne année 2019 !

Le nouvel an est souvent synonyme de nouvel élan. On fait table rase et on repart sur de bonnes bases ! Avec de très bonnes mauvaises idées qui garantissent une saison pleine de blessures, de lassitude, d’incohérence, d’épuisement… Voici 7 « anti-bonnes résolutions » à éviter pour garder le plaisir de courir tout au long de l’année et d’éviter de vous blesser ! Par Marie Paturel. 7 anti-bonnes résolutions 2019   Résolution n°1 : Je monte à 6 séances par semaine. Faut c’qu’il faut pour progresser  Passer du runner du dimanche au coureur acharné qui s’entraîne tous les jours, c’est forcément la bonne solution pour progresser et relever le défi 2019 : finir un marathon, un trail ou une grande classique comme Marseille-Cassis. Du coup, j’augmente brutalement le volume et l’intensité de l’entraînement. A la clé de cette excellente idée : des blessures, de la fatigue ou encore du surentraînement. On oublie donc ce mauvais plan et on respecte plutôt quelques principes fondamentaux. La progressivité est la clé d’une pratique respectueuse du corps et de l’esprit. Les experts en physiologie recommandent d’accroître de 15 % maximum le volume d’entraînement chaque année. Autant dire que pour passer d’une sortie hebdomadaire à 6 séances par semaine, il va falloir être patient ! L’idée n’est pas de courir énormément pendant une saison, mais plutôt de courir pendant des années en restant en bonne santé. On calme donc ses ardeurs et on raisonne sur plusieurs saisons. Résolution n°2 : Cette année, je me lance sur un marathon ou un ultratrail. Habituellement, je suis plutôt un coureur de 10 kilomètres et je m’entraîne 2 ou 3 fois par semaine. Mais là, j’ai une furieuse envie d’effort long, alors j’ai prévu un marathon au printemps. Et puis peut-être bien un ultra au début de l’automne parce que le trail, c’est cool ! Non, un marathon n’est pas anodin. Tout comme un ultratrail n’est pas juste une grande balade en montagne. L’un comme l’autre exigent de longs mois, voire plusieurs années, de préparation progressive et adaptée. Pour « monter » sur les longues distances, l’organisme a besoin de temps pour s’adapter au volume élevé parcouru à l’entraînement. De plus, gérer un marathon ou un ultra nécessite une solide expérience, une excellente connaissance de soi et le franchissement de paliers. Avant de s’aligner au départ de 42,195 km, on valide l’étape du semi-marathon. Tout comme on valide sa capacité physique et mentale à assumer un trail de 30, 50 et 80 km avant de lorgner vers 100 km. Attention à la banalisation des longues distances qui occulte toute l’importance d’une bonne préparation et d’un réel respect de l’organisme ! Résolution n°3 : Je programme tout un tas de compétitions. Les compet’, c’est bon pour la tête : ça motive, ça incite à s’entraîner et ça permet de rencontrer plein de monde. Je m’inscris donc à une bonne vingtaine de courses, histoire de multiplier les expériences. Un dossard tous les 15 jours, c’est le bon rythme ! A moins d’avoir envie d’être complètement cramé à la fin de l’année, multiplier les compétitions n’est pas très recommandé. En revanche, il est conseillé de définir 2 à 3 objectifs phares au maximum dans la saison, pas davantage. En amont de chacune de ces courses importantes, une ou deux épreuves peuvent faire office de préparation. Par ailleurs, il est capital d’identifier les périodes pendant lesquelles on sait ne pas être très disponible ou accuser systématiquement un coup de fatigue, quelles qu’en soient les raisons (surcharge périodique au travail, période intense de rentrée scolaire, etc.). On évite alors de programmer des séances difficiles ou des compétitions pendant ces créneaux. Résolution n°4 : Je prends un plan d’entraînement sur internet et je l’applique aveuglément. Google. « Plan entraînement marathon ». Entrée. Bing ! Des dizaines de pages de résultats s’affichent. Il n’y a plus qu’à se servir dans cette offre pléthorique et gratuite. Je choisis un planning et je l’applique à la lettre. Ben quoi, c’est bien un coach qui a dû l’élaborer, non ? Certes, le web est une mine d’informations parmi lesquelles on déniche de vraies pépites. Mais il regorge aussi de conseils mal avisés. En matière d’entraînement, on trouve de tout sur internet. La première règle consiste donc à identifier l’auteur du plan d’entraînement : est-ce un entraîneur diplômé ? Quelles sont ses compétences et ses références ? La deuxième règle est commune aux plannings proposés également dans les magazines : il est nécessaire de personnaliser la trame générique que vous avez trouvée. Les plans d’entraînement gratuits se veulent le plus universel possible. Néanmoins ils ne tiennent pas compte des spécificités individuelles (passé sportif, problèmes de santé, disponibilité, autres sports pratiqués…). Il faut donc absolument prendre du recul et adapter le plan pour en faire une programmation personnelle. Résolution n°5 : Je cours à bloc tout le temps et je ne me repose jamais : no pain, no gain ! Une petite douleur dans le mollet, des séances systématiquement finies à l’agonie, un entraînement quotidien (voire bi-quotidien), une fatigue qui s’installe petit à petit. Le corps et la tête envoient des signaux, mais je n’y prends pas garde. Ce n’est qu’en m’entraînant dur tout le temps que je progresserai. S’il ne s’agit pas de courir en se frisant les moustaches en permanence, il n’est pas question non plus d’être tout le temps au taquet ! Une grosse partie de l’entraînement doit être réalisée en endurance fondamentale, autrement dit à une allure qui permet de papoter tranquillement avec quelqu’un tout en courant. Après une compétition, on prévoit généralement une semaine de récupération pendant laquelle on relâche le rythme. De plus, un plan d’entraînement est structuré en cycles au sein desquels on programme une semaine allégée toutes les 3 à 4 semaines. Ce changement de rythme permet au corps d’assimiler le travail réalisé. Enfin, il est crucial de ménager une à deux coupures pendant l’année. Qui dit coupure, dit arrêt de toute activité sportive intense pendant une période donnée (en général, 2 à 3

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Mieux comprendre Imperméabilité et Respirabilité

En quête de l’équipement et de la veste idéale pour vos sorties running ou trail, vous vous êtes sans doute posé la question plus d’une fois ! Imperméable et/ou respirable? On vous aide à décoder ces 2 termes. L’Imperméabilité C’est la capacité d’un tissu à empêcher la pénétration de l’eau. On peut rendre un tissu imperméable en lui associant une membrane ou grâce à une enduction. Le Schmerber est l’unité de mesure de l’imperméabilité, il représente une colonne d’eau de 1 mm. Un vêtement qui a une valeur de 10 000 Schmerber, c’est-à-dire 10 000 mm, résiste donc à 10 m d’eau. Un vêtement est parfaitement imperméable à partir de 20 000 Schmerber. La Respirabilité C’est la capacité d’un tissu à évacuer la vapeur d’eau. Un tissu garantissant une bonne respirabilité limite la condensation de la vapeur d’eau à l’intérieur du vêtement. Elle facilite donc l’évacuation de la transpiration et maintient le corps au sec. On évalue la mesure de respirabilité de 2 manières : 1.  La mesure MVTR (taux de transmission de la vapeur d’eau) calcule la quantité d’eau (sous forme de vapeur) que le tissu laisse passer en 24h. La MVTR s’exprime en gr/m2/24 h : MVTR 30 000 = vêtement extrêmement respirant MVTR 20 000 = vêtement avec une très bonne respirabilité MVTR 10 000 = vêtement respirant MVTR 5 000 = vêtement peu respirant Cet indice est utilisé par la plupart des marques françaises. 2.  L’indice RET (Resistance Evaporative Transfert) mesure la capacité d’un tissu à laisser s’échapper la vapeur d’eau générée par le corps (transpiration). Le RET étant un indice de résistance, plus il est faible plus il indique que le vêtement est respirant. RET inférieur à 6 : très respirant RET entre 6 et 12 : respirant RET entre 12 et 20 : faiblement respirant RET au-delà de 20 : non respirant. Cet indice est surtout utilisé par les marques américaines, dont Gore. Allier imperméabilité et respirabilité L’idéal est donc d’allier imperméabilité et respirabilité ! En effet, la membrane (ou l’enduction) contient des millions de pores microscopiques au cm², assez grands pour laisser s’échapper la vapeur d’eau (transpiration), mais suffisamment petits pour empêcher le passage de pluie. Vous êtes donc parfaitement au sec.   Actuellement, l’une des vestes les plus performantes et technologiques sur le marché et répondant à ces 2 critères est le modèle Shakedry de la marque Gore Wear; mais d’autres modèles existent qui ne manqueront pas de vous combler 🙂   Demandez conseils à nos équipes en magasin.    

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Meilleurs vœux 2019

Amis runners, chers Clients, Nous vous présentons tous nos voeux pour cette nouvelle année ! Qu’elle soit riche en émotions, en partage et en succès sportifs  Belle année sportive à tous !

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Test de la montre Vantage V de Polar

La dernière montre de Polar a fait un runner heureux ! Jérôme, coureur au club Léman Triathlon et client du magasin Terre de Running Anthy  s’est procuré la Vantage V de Polar. Il nous partage son retour et son coup de coeur suite à son utilisation. Une montre qui allie design et technologies Dans l’utilisation quotidienne : elle est top, légère , discrète elle se laisse facilement oubliée au poignet et elle peut se porter facilement même pour aller au bureau. Le design est vraiment réussi. Côté Technique: le suivi cardiaque et d’activité en continue  est bien fait, je manque un peu de recul pour le moment mais à mon avis sur le long terme cela doit permettre de bien gérer les périodes de charge et d’éviter la sur fatigue. Pour ce qui concerne le cœur de la bête  l’activité sportive tout n’est pas encore parfait .. Point positifs : l’écran aussi bien le côté tactile que la couleur et la définition : les informations sont très lisibles, la configuration des écrans via polar Flow très pratique. L’apparition de la puissance en course à pieds : pour l’instant je n’ai pas encore le recul nécessaire pour vraiment en profiter mais déjà les informations à en retirer sont intéressantes. L’altimètre barométrique est précis comme sur la V800. Très bonne précision également pour les séances de natation en piscine. Enfin la batterie tiens vraiment plus longtemps que sur la V800 : parfait pour les longues distances. Points à améliorer : la montre en est encore à son adolescence 🙂 Les prochaines mises à jours devraient corriger tout ça, comme cela avait été le cas pour la V800 à son lancement, mais j’ai rencontré déjà quelques « soucis » : fréquence de foulées en course à pieds sous-évaluée, tracé GPS en terrain non ouvert (en forêt surtout) moyen, quelques bugs sur les boutons (autolap Vs manuel lap) et sur l’affichage de la distance. Autre remarque si la mesure du cardio au poignet est pratique pour le suivi continu, elle est beaucoup plus aléatoire et même clairement erronée sur les séances course à pieds. Le couplage avec un émetteur H10 est indispensable pour ceux qui basent leur entrainement sur leurs zones FC. Ce point est commun à toutes les montres proposant la mesure au poignet actuellement sur le marché… ERREURS CORRIGÉES SUITE A LA MISE A JOUR DE LA 2.0 (voir notre article) Suite à la mise à jour de la montre cette semaine, les points à améliorer ont tous été traités dans celle-ci. Donc outre le fait que maintenant la montre fonctionne vraiment bien , on peut noter que les équipes techniques de chez Polar sont à l’écoute des retours des utilisateurs et corrigent au fur et à mesure les problèmes rencontrés. Un cadeau de Noel à recommander donc 🙂 Retrouvez les montres Polar dans les magasins Terre de Running et sur www.terrederunning.com

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Conseils : comment reprendre le running après une coupure

Nous avions vu dans un précédent article l’intérêt d’une coupure annuelle ; à la fois dans un but de régénération mais aussi de progression et santé à long terme. Cette coupure peut être volontaire mais elle est parfois forcée par une blessure ou par des contraintes professionnelles ou familiales. En tout cas quelles que soient les raisons de votre arrêt nous allons voir les principes à respecter pour reprendre de manière optimale en régulant convenablement sa charge d’entrainement sans aller vers la sur-fatigue ou même à la blessure. Les principaux axes pour reprendre le running après une coupre Retrouver une condition physique générale Durant votre période de repos, votre organisme s’est plus ou moins désadapté au niveau musculaire, tendineux et cardio-vasculaire. Vous devez donc complètement occulter la charge d’entrainement qu’il était capable d’encaisser avant votre période de repos. Votre « niveau » de départ sera bien évidement malgré tout dépendant de la longueur de votre période de repos et des éventuelles sollicitations que vous lui aurez imposé durant cette période. Dans un premier temps il s’agira donc de vous remettre sur les rails pour vous permettre d’encaisser progressivement une charge de travail plus conséquente et spécifique à vos objectifs. Les désadaptations musculaires étant souvent les plus perceptibles, si vous en avez la possibilité, privilégiez d’abord les activités où les contactions musculaires excentriques sont limitées (vélo, marche en montée, ski, cardio-training en salle..) pour progressivement tendre vers la course à pied. Vous serez parfois surpris de vous retrouver avec de belles courbatures après un premier simple footing. Lors des 2 à 3 premières semaines, l’objectif sera de d’abord retrouver un niveau d’endurance correct. L’endurance fondamentale sera la base de votre entrainement avec progressivement un peu d’endurance active. C’est elle qui détermine grandement votre condition physique générale. En parallèle astreignez-vous à du renforcement musculaire de la ceinture abdominale et lombaire (gainage, abdominaux…) et profitez-en pour refaire du travail technique à base de gammes de course. Ajoutez-y dans un deuxième temps progressivement du renforcement musculaire des membres inférieurs.   Ce travail vous permettra de vous adapter progressivement à une charge de travail plus importante tout en ne l’augmentant pas trop brutalement sans faire uniquement de la course à pied. Pensez également à varier les activités pendant cette période pour vous permettre d’obtenir un plus large panel d’adaptations et parce que l’endurance est ce qu’il est le plus facile à mettre à place en terme d’entrainement croisé. Une bonne condition physique de base est indispensable avant de greffer des séances plus qualitatives. Progressivité : la clé de la réussite de votre reprise Durant cette période de reprise, le plus grand principe d’entrainement que vous devez garder à l’esprit est la progressivité. Progressivité dans le volume de vos séances, dans le volume hebdomadaire ainsi que dans l’intensité et le volume de vos séances d’intensité. Dès que vous allez solliciter un registre que vous n’avez pas encore travaillé, les adaptations du système qu’il sollicite vont se mettre place ; mais il faut laisser le temps à ce que ces adaptations puissent se faire. Si on prend l’exemple des courbatures qui peuvent être nécessaires à une adaptation ; celles-ci peuvent apparaître suite à une séance d’entrainement mais elles ne doivent pas augmenter au fil des séances, au contraire. Si c’est le cas c’est que vous augmentez votre charge d’entrainement trop rapidement. Globalement, n’ayez pas peur de reprendre à la fois lentement en termes de vitesse et sur des durées courtes. Par exemple : 20 ou 30’ de footing ou d’alternance course/marche peuvent être complètement suffisantes au départ. Je vous conseille dans un premier temps de rester sur de l’endurance de base en augmentant progressivement la durée de vos sorties (+10 à 15’ max). Progressivement vous pouvez y ajouter un peu d’endurance active (toujours progressive en termes de durée et d’intensité) puis du seuil anaérobie. A RETENIR : Ce n’est à partir que du moment où vous aurez une endurance de base minimum que vous pourrez inclure des sessions plus intenses (VMA/PMA, vitesse, capacité lactique…) et ainsi varier l’intensité de vos séances. Ce premier cycle d’entrainement doit durer 2 à 4 semaines. Pour ne pas risquer la blessure ou une fatigue excessive, il n’est pas conseiller d’augmenter sa charge d’entrainement de plus de 25 à 30% maximum chaque semaine. Mais attention la charge d’entrainement ne veut pas dire seulement le volume, elle tient compte également de l’intensité. Prenez votre temps pour la reprise en compétition Dans une période de reprise, la majorité des cas de mauvaise réussite sont dus à une reprise trop rapide. Pour cela il ne faut surtout pas se fixer d’objectifs trop proches en terme de compétition. Prenez le temps de bien planifier vos cycles d’entrainement en fonction de vos objectifs majeurs de la saison qui doivent être suffisamment éloignés pour vous permettre de placer tous les cycles de préparation dont vous avez besoin pour arriver à votre forme optimale. Se fixer un objectif de compétition trop rapprochée de la reprise c’est se mettre un ultimatum et prendre le risque de bousculer inconsciemment les choses. Prenez le temps de voir l’évolution de votre forme et de vos adaptations avant de planifier une première compétition de préparation qui correspond aux qualités que vous aurez développées au cours des cycles précédents. Progressivité, adaptations, patience, variété de travail et planification sont les maîtres-mots que vous devez garder à l’esprit dans une période de reprise. Le risque est souvent d’aller trop vite, trop fort ou trop longtemps de par l’envie décuplée qui nous anime durant ces périodes. Gardez en tête que la saison est longue ! Soyez raisonnable, votre corps vous le rendra 😉   Julien Rancon Athlète et coach www.julien-rancon.com

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Nouvelle version modernisée de la Ultima 11 Mizuno

C’est l’une des nouveautés attendues de prochaine collection,  la chaussure Ultima 11 Mizuno est déjà disponible dans les magasins Terre de Running en modèle homme.   Modèle universel, la Ultima 11 est une chaussure de  running pour la route qui convient aux coureurs en recherchent d’amorti et de confort pour les entraînements réguliers et les moyennes à longues distances. Les habitués et fidèles à Mizuno reconnaîtront sur ce modèle les points fort de la marque : POINTS FORTS MIZUNO Plaque Wave pour un amorti plus souple et une meilleure transition Système U4icX au talon sous la plaque Wave pour un meilleur amorti et confort au moment de l’impact au sol Polyvalence et confort Renforts latéraux et bandes de maintien pour sécuriser la foulée Les nouveautés de la Ultima 11 Nouveau design de la tige pour un look plus moderne Un mesh revisité et plus stretch pour un meilleur confort d’accueil et un maintien du pied optimisé     La chaussure de running Wave Ultima 11 ravira le plus grand nombre grâce a une sensation de confort exceptionnelle. La nouvelle plaque Wave renforce l’amorti au talon pour plus de protection, et offre une stabilité et un maintien du pied sans sacrifier la légèreté.   Infos produits : POIDS 320g (M) / 265g (W) DROP 20/32   Demandez conseils à nos équipes en magasin.

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