Résultats du Défi Vellave 2017

Encore une belle réussite pour cette nouvelle édition, la météo a été souriante pour les départs, mais s’est dégradée pour les arrivées… Bravo à tous Ci dessous les résultats pour les différentes compétitions. Défi Vellave 35 km: defivellave2017-35-km   Monistrail 20 km: defivellave2017-20-km   Trail découverte 10 km: defivellave2017-10-km   Marche Nordique 15 km: marche-nordique-defivellave2017     Les arrivées en direct pour revivre l’événement: Première partie: https://www.youtube.com/watch?v=zkKVq0I6Vio   Deuxième partie: https://www.youtube.com/watch?v=gK_qdd1xU-c

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Une course sur route pour performer sur les sentiers

Quand on écoute les adeptes de courses sur sentier en montagne qui nous parlent de liberté, d’évasion, de plaisir….on a souvent l’impression que la course sur route est une discipline ennuyeuse et « has been ». Si le trail semble en effet une discipline loin du chrono, paradoxalement les traileurs sont souvent des adeptes des dernières technologies en matière d’électronique (montres ou appareils qui mesurent un peu tout et parfois n’importe quoi) ou de réseaux de données tel que Strava…, – nous y reviendrons dans un prochain article). Pourtant la course sur route reste de loin la discipline de la course à pied la plus pratiquée. On compte 50000 coureurs au marathon de Paris, presque autant au semi. Marseille Cassis, Run in Lyon, Paris – Versailles, la Course de l’Escalade en Suisse…. dépassent allègrement les 10000 participants. C’est donc que beaucoup de coureurs y prennent du plaisir…! Une petite course sur route de temps en temps est bénéfique à tous les coureurs y compris (et surtout) pour les coureurs nature. préparer une course sur route, quels intérêts? Evaluer sa condition physique Tout d’abord, le fait que l’on ne soit pas limité techniquement par le rendu du sol et des appuis ou le dénivelé et que l’effort soit très régulier, permet une bonne évaluation du niveau physiologique de l’athlète. Que ce soit sur 5km, 10km, 15km, semi-marathon, marathon, voire même 100km, ceci vous donnera un bon aperçu de vos qualités d’endurance à différentes intensités sous-maximales : proche de 90% de VMA pour le 10km proche de 85% pour le semi-marathon proche de 80% pour le marathon. Indépendamment des conditions météorologiques, d’un éventuel dénivelé important ou d’une très mauvaise gestion de course, cela vous permettra de comparer facilement vos progrès ou votre niveau de préparation. C’est donc à la fois un bon outil d’évaluation ou de comparaison. Dynamiser sa foulée Le revêtement propre, dur et stable qu’offre le « bitume » permet un bon travail de la foulée et de l’appui qui ne sont en rien entravés par une quelconque difficulté. Des appuis solides, une foulée à la fois ample et fréquente permettront à la gestuelle de se dérouler sans encombre et donc de progresser dans le relâchement et la posture à des vitesses de plus en plus élevées;  cela aura aussi un impact sur votre coût énergétique à des vitesses sous-maximales. Cette répétition cyclique et régulière de la foulée à des vitesses relativement élevées permet de trouver de l’aisance gestuelle, de la qualité d’appuis et du cycle de jambes. Ce travail est d’autant plus important que vous n’avez pas un passé « athlétique » mais tous les coureurs sont concernés car l’impact des distances longues ou du dénivelé sur votre foulée peut devenir très négatif à terme s’il n’y a pas quelques petits rappels annuels. Développer son « moteur » Préparer une course sur route, c’est aussi l’occasion de faire un gros cycle d’entrainement sur les registres de la puissance aérobie (VMA) et de l’endurance à des intensités élevées (>80%VMA). Pour rappel, les courses d’une distance en dessous du marathon sont un mixte entre des qualités de puissance aérobie et d’endurance aérobie qui sont les deux bases de l’entrainement général quelle que soit la course que l’on prépare. Durant votre préparation, vous aurez l’occasion de travailler et développer votre vitesse et l’agréable impression de courir « vite » par rapport aux sensations plus grisantes que l’on peut retrouver sur les courses plus montagneuses. Quels types d’entrainement? Durant ce cycle d’entrainement, vos séances s’articuleront autour de séances de développement de la Vitesse Maximale Aérobie (VMA), de son temps de soutien ou de seuil anaérobie à plat. A raison d’au moins deux cycles de préparation à l’aube de la saison de course nature, ce travail aura le double avantage de vous faire progresser dans les registres précédemment cités mais aussi de sortir de votre routine voire même de votre zone de confort et ainsi bousculer votre organisme pour passer un cap physiologique et parfois psychologique. Intérêt non négligeable : ces sorties courtes, intenses et faciles à mettre en place sont idéales pour les gens qui ne disposent pas de beaucoup de temps durant la semaine. Derrière ce travail, vous aurez ainsi de bonnes bases pour la suite de votre saison sur des distances plus longues ou des formats plus montagneux.   En conclusion Préparer une course sur route c’est l’opportunité d’apporter du changement, de l’intensité et de la vitesse à vos entraînements et de progresser ! Les « anti-chrono » se prendront à coup sûr vite au jeu et y prendront du plaisir, à moins qu’ils ne le soient déjà sans s’en rendre compte ;-). Enfin, pour sélectionner votre course sur route, privilégiez les courses labellisées, les calendriers annuels regorgent de courses sur route. Le réseau de magasins Terre de running est partenaires de nombreuses courses comme par exemple dans le Rhone > voir le calendrier   Julien Rancon

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Montre TomTom Adventurer, testée et approuvée!

Mervin du magasin de Limonest a pu testé pendant quelques semaines la nouvelle montre TomTom : la multi-sports Adventurer. Voici son retour : « Heureux possesseur d’un modèle TomTom runner 2 cardio, j’ai eu la chance de pouvoir tester la dernière née de chez TomTom, une montre qui regroupe une multitude de capteurs pour tous types d’activités multisports. Légèreté et confort Ce qui marque dans un premier temps c’est sa légèreté. Le bracelet est très confortable grâce à une texture en plastique très douce façon peau de pêche et son système de fermeture inspire confiance. Il est néanmoins important que la montre soit suffisamment serrée pour que le capteur optique du cardio fréquencemètre fonctionne dans de bonnes conditions. Confiance renforcée par un cadran en plastique solide qui protège les bords de l’écran. Ce dernier propose un affichage monochrome judicieusement choisi car son fort contraste permet une bonne lisibilité des données même en plein soleil. Connexion facile avec la plateforme TomTomMySport Une fois le compte créé sur le logiciel TomTomMySport, rendez-vous dans les menus de la montre. Un bouton multidirectionnel permet de naviguer parmi les différents programmes. On y retrouve des gadgets tels que l’analyse du sommeil, le suivi d’activité journalière (tous deux désactivables) et surtout les différents modes de sport : course à pied, vélo, ski, gym, natation…. Ainsi il est permis de régler chaque mode sportif indépendamment des autres. En effet il est possible de personnaliser chacune des trois métriques présentes à l’écran, visualiser l’historique de ses dernières activités ou encore mettre en place des objectifs tels que des séances de fractionnés, des zones de cardio et des limites de vitesse hautes et basses etc. Chaque nouveau réglage restera en mémoire pour la fois prochaine. Lors de son utilisation, ce que j’ai le plus apprécié c’est la présence d’un mode randonnée où le délai du signal GPS est réduit et que l’on peut détourner sur n’importe quel sport afin de prolonger l’autonomie de la montre sur les longues sorties (je ne suis jamais arrivé au bout de la batterie lors de mes sorties avec le cardio et le GPS activés). L’altimètre barométrique ne m’est pas indispensable mais c’est quand même agréable de connaitre son dénivelé en temps réel dans le but d’accroître la gestion de son effort. Pour finir j’ai vraiment pris du plaisir avec l‘importation des parcours et la possibilité de les suivre sur la montre (avec plusieurs échelles de zoom) qui m’a permis de planifier des nouveaux tracés en VTT, de courir contre moi même au parc de la tête d’or et d’avoir eu la possibilité de m’aventurer sur des nouveaux sentiers en trail sans risque de me perdre grâce à sa boussole et à l’option de retour au point de départ (vous devinerez que je n’ excelle pas vraiment dans l’art de l’orientation).       En conclusion….. La TomTom Adventurer tient donc pour moi toutes ses promesses, sa simplicité d’utilisation va de paire avec son manque de personnalisation (notamment sur la gestion du signal GPS). C’est une montre au rapport caractéristiques/prix imbattable qui se destine à ceux qui aiment s’aventurer à l’extérieur ou qui comme moi recherchent une montre multi-sports pour des petites courses et capable d’être rapidement prête pour les entraînement planifiés à la dernière minute. »

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Run urbain du jeudi Terre de running Lyon

Nouveau ! Run urbain du jeudi Rejoignez nos sorties gratuites et encadrées par un coach. Un rendez-vous mensuel orienté run urbain, préparation trail, renforcement (mais aussi running!). Plaisir et convivialité au programme. Prochaines dates : Jeudi 16 mars  : pour ce rdv, nous vous proposons un testing des chaussures Brooks – RDV à partir de 18h30 au magasin (vestiaire possible) Jeudi 13 avril Jeudi 11 mai Jeudi 8 juin Infos pratiques Lieu de rdv : magasin Terre de running Lyon – 8 rue de la Barre Lyon 2 Horaire : 19h (Attention pas de vestiaire)   Infos complémentaires auprès de l’équipe du magasin : 04 72 77 53 85 ou lyon@terrederunning.com  

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Objectif Trail du Ventoux pour le team

Ils seront 4 coureurs du team  Terre de runnig-Mizuno à être présents lors du trail du Ventoux, course support pour la sélection des championnats de monde de trail. Tour d’horizon : Aurélia Truel, nouvellement arrivée dans le team. Le trail du Ventoux sera sa première course en 2017 (voir l’article de présentation de saison) mais Aurélia en a fait l’un de ses objectifs du début de saison. Elle mettra à profit son expérience sur cette course relevée.   Stéphanie Duc, récente vainqueur du 16km du Belledonne Gelon Trail  nous fait part de ses objectifs de saison : Comment se passe ce début de saison ? Après les Templiers (9ème femme et 3ème française) j’ai coupé puis j’ai repris tranquillement pour reprendre la forme. Ma préparation est un peu plus structurée depuis quelques mois. Cet hiver j’ai notamment alterné l’entrainement entre course à pied, ski rando et quand le temps le permet du vélo. tout en travaillant le dénivelé et la descente, et le renforcement musculaire, et quelques séances de vitesses. Tu as coché le Ventoux comme objectif…tu nous en dis un peu plus? Oui effectivement, j’ai coché le Ventoux car c’est le trail de référence de début de saison et il y a toujours un plateau relevé. Comme cette année c’est aussi une sélection pour les mondiaux; c’est d’autant plus motivant. Bien sûr la concurrence sera là mais je m’entraîne en fonction pour être au niveau. J’ai fait le trail de belledonne pour débuter la saison qui s’est plutôt bien passé. Début mars je ferais les Cabornis pour faire une course juste avant le Ventoux. Quels seront les autres objectifs et courses de la saison? Les autres objectifs de la saison seront principalement les France de trail mais aussi la Pierra Menta d’été et des courses complémentaires comme l’X trail de Courchevel. je n’ai pas encore tout planifié! Comment concilies-tu vie de famille, professionnelle et sportive ? Du fait que je suis à plein temps , j’essaie de m’entraîner la semaine entre midi et 14h pour être disponible en soirée pour la vie de famille. Le week end, je fais des séances un peu plus longues et quand je peux j’essaie de doubler les séances. Maintenant que .les enfants sont plus grands, je peux consacrer plus de temps pour m’entraîner le week end.   Emmanuel David : très en forme en ce début de saison  avec de belles prestations en cross et une victoire sur la manche du TTN de Gruissan deant Maxime Cazajous. Manu, peux tu revenir sur ta course de Gruissan ? Le départ a été plutôt rapide mais je ne me suis pas affolé. j’ai rattrapé la tête de course vers le 15ème km puis nous sommes restés ensemble avec Maxime jusqu’au 38ème km.Sur la fin j’ai augmenté le rythmne pour pouvoir le lâcher. J’avais de très bonnes sensations, j’ai notamment bien géré les ravitos et je n’ai pas eu de crampes. Comme beaucoup de coureurs tu as coché le trail du Ventoux… Oui, après la déception des France de trail, j’ai bien coupé puis j’ai repris plus tôt que d’habitude en faisant l’impasse sur des courses comme la Saintélyon pour privilégier l’entrainement. J’ai notamment pas mal de sorties en nature avec Paul Lalire. Le Ventoux est mon premier gros objectif de la saison de trail. Après ma 4ème place l’an dernier et même si le contexte sera bien sûr plus relevé j’espère me rapprocher le plus possible de la sélection. Qu’as tu programmé ensuite? Après le Ventoux je couperais un peu pour me régénérer. Ensuite, je n’ai rien de vraiment planifié….. je vais me laisser guider par l’envie et les opportunités. Le 2ème gros objectif sera les France de trail en septembre. Mais avant cela tu seras au France de cross… Oui c’est ma dernière année en sénior ! Avec mon club et les bons (et jeunes) coureurs que nous avons (Fabien Palcau, Alexis Miellet) nous espérons faire bonne figure au classement par équipe. D’ici là j’espère avoir bien récupérer.   Stéphane Celle : le coach sportif stéphanois affectionne particulièrement le Trail du Ventoux. Il y prendra part avec pour objectif de prendre du plaisir, terminer au mieux et emmagasiner de l’expérience pour la suite de sa saison. Après quelques courses de préparation cet hiver, il orientera sa saison plutôt sur des formats Ultra. Ses objectifs de la saison : les 6 h de Méribel L’Ultra Transaubrac Le Trail de St Jacques Le trail de la Grande Casse L’Ultra des Templiers La Saintélyon (format à définir)

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Les femmes à l’honneur avec Terre de running

Le réseau de magasins Terre de running se mobilise et célèbre les femmes avec une semaine d’animations, de running et de surprises qui leur sont dédiées du 6 au 11 mars. Programme des animations running-testing spécial femmes Terre de running Puteaux : rdv jeudi 02/03 à 19h pour une sortie running / fitness en partenariat avec Mom in Balance et avec la présence de Thuasne et Mizuno pour le testing.  une animation idéale pour préparer la course 100% femme La Putéolienne qui aura lieu le 05/03 ! Terre de running Limonest : rdv mardi 7 mars à partir de 18h3O pour une  sortie running et la possibilité de test des brassières Thuasne, de la compression Skins et les appareils Compex (avant et après la sortie). Encarée par Florence Reignier, athlète membre du team TDR. Facebook Terre de running Grand Lyon Terre de running Décines : rdv jeudi 9 mars à partir de 18h30 pour une sortie running et test des brassières THUASNE, des produits diététique OVERSTIMS et de l’électrostimulation BLUETENS. Sur inscription à decines@terrederunning.com – Facebook Terre de running Grand Lyon Terre de running Quétigny : sortie running mardi 7 mars à 18h30 – Test des produits COMPRESSPORT. Lot Baume du Tigre. Terre de running Antony : rdv à partir de 18h30 mardi 7 mars pour une sortie running encadrée par la team TDR avec test des chaussures Veets, des brassières Thuasne, de l’électrostimulation Bluetens et  de la compression skins. Terre de running Toulon : rejoignez notre sortie running mercredi 8 mars à partir de 18h30 et venez tester les montres Tom Tom, les chaususres Adidas, et Hoka. Lot surprise pour les participantes. Un animateur PUMA sera présent toute la journée pour vous conseiller sur la gamme. Terre de running Albertville : rdv jeudi 9 mars à 19h. Sortie running et test des chaussures Saucony, des boissons d’éffort et barres céréales Authentic Nutrition et des ceintures Sammies Terre de running Lyon : rdv jeudi 9 mars à partir de 18h30 pour tester les chaussures Adidas, les montres Polar et les brassières Thuasne. Sortie running tous niveaux à 19h encadrée par notre partenaire Urban Challenge Lyon.. Facebook Terre de running Grand Lyon Terre de running Echirolles : rdv mercredi 8 mars à 19h pour une sortie running et renforcement animée par Maité, responsable du magasin..Départ du magasin d’Echirolles. Facebook Terre de running Grenoble Terre de running St-Etienne : sortie running 100% girly mercredi 8 mars à partir de 18h45 avec des conseils, une petite collation arrivé et une surprise pour chaque femme. Stéphane Celle coach et membre du team trail Terre d erunning Mizuno sera présent. Terre de running Craponne : sortie running 100% femmes jeudi 9 mars à partir de 18h30 avec test des vêtements KARI TRAA Terre de running Bourgoin : sortie running 100% femmes avec ateliers jeudi 9 mars à 19h. Sortie conviviale tous niveaux encadrée par Astrid, membre du team.   Toutes les infos auprès des magasins – page facebook Terre de running et les pages facebook des magasins.  

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Nutrition : comment bien préparer sa course?

Cet hiver semble vouloir rester clément, et la saison de course à pieds ne saurait tarder à reprendre, pour ceux qui n’ont pas déjà commencé. Les plans de préparation et les projets se dessinent, et comme chaque année des questions se posent : Quel volume vais-je pouvoir assumer ? Quelle course ai-je envie ou les moyens de faire ? Dans quel état de forme ou de santé suis-je ? Que suis-je prêt à mettre en place pour progresser (si j’en ai le réel désir), ou pour améliorer mon confort de course (ce qui est en soi une progression)… la nutrition c’est tous les jours! Préparer un objectif sportif demande un investissement qu’il faut comprendre en profondeur. Certes l’entraînement, la préparation physique, la récupération, sont les incontournables étapes d’une vie sportive, mais beaucoup de coureurs négligent encore trop l’approche nutritionnelle dans leur pratique. Parfois par manque de disponibilité (mentale, culturelle, de temps… peu importe en fait !). Souvent aussi à cause d’une tenace conviction de déjà maîtriser le sujet… Et c’est en partie pour cela que je cherche parfois à jeter quelques pavés dans la mare pour faire bouger les consciences, comme d’autres spécialistes de la nutrition. Préparer une course par la nutrition ne demande pas d’avoir une discipline de moine shaolin, ou de se transformer en un ascète évitant tout plaisir alimentaire. Au contraire, de la même manière que le plaisir à l’entraînement est une clef de progression, le plaisir gustatif est également un vecteur de santé… Pour peu que la notion de plaisir ne se résume pas à un grand soda, accompagné d’une grande frite et d’un burger !!! quels conseils nutritionnels ? Sans chercher à proposer un traité détaillé de nutrition sportive, voici déjà quelques habitudes à intégrer ou affermir dans l’alimentation quotidienne : jamais un jour sans au moins 3 fruits frais de saison différents, et 3 portions de légumes de saison frais et pas trop cuits. Un total d’environ 400g de poissons gras par semaine (sardines, maquereaux, anchois, flétan, truite ou saumon sauvages…) Tous les jours 2 cuillerées à soupe d’huile de colza bio vierge en assaisonnement ou mayonnaise maison (ou 1 cuillerée à soupe d’huile de cameline ou de graines de chia, ou de graines de lin moulues ou cuites dans le pain…) des oléagineux variés un peu tous les jours (noisettes, amandes, noix…). utiliser des féculents digestes de qualité (de préférence patates, riz semi-complet, sarrasin, légumineuses, pas trop de pâtes, une quantité raisonnable de pain (100 à 200g maxi), plutôt complet et bio. Ne jamais dépasser les 2 portions par jour sauf exception choisir des laitages de qualité (donc de l’artisanal, chèvre ou brebis de préférence, ou alors de vache qui mange de l’herbe) que l’on consomme avec parcimonie (1 à 2 par jour et pas forcément tous les jours).   Ce sont quelques points de repère très synthétiques, qui demandent un long travail d’explication et de pédagogie en consultation, mais qu’il est néanmoins important de mentionner.   nutrition : a tester a l’entrainement Concernant la nutrition en course, particulièrement pour les parcours longs, la reprise est le bon moment pour se poser ces questions : lors de mes courses, tout se passe toujours vraiment bien ? n’ai-je jamais d’aigreur d’estomac ? de ballonnement ? de diarrhée ? de vomissement ? Ai-je bien testé les produits que j’utilise en course lors de sorties longues à l’entraînement ? ai-je vraiment choisi en conscience ? ne devrais-je pas affiner les choses pour que mes jambes puissent faire leur propre travail sereinement ? Ces interrogations ont beaucoup de sens, car celui qui considère que l’entraînement est le seul vecteur de réussite en course se trompe lourdement, et il lui faudra abandonner plusieurs fois encore avant de reconsidérer la question. Une course, ça se prépare plusieurs mois à l’avance par l’entraînement, mais aussi par une alimentation qui doit garantir tous les apports micronutritionnels. Prendre des gélules pour essayer de faire disparaître une fatigue tenace quelques jours avant une course n’a pas de sens, et ne donnera aucun résultat. Ne comptez pas non plus sur une boisson d’effort, aussi bien conçue fût-elle, pour résoudre la question. Chaque sortie à allure course doit être l’occasion de tester les boissons, la manière de les utiliser, l’alimentation solide éventuelle, la quantité qui « passe » par heure, ce que l’on va emporter pour une course de 2h, 4h ou plus… Avant de vous proposer des réponses plus précises sur ces sujets, je vous propose déjà de réfléchir à une clef : la capacité d’absorption des nutriments est limitée à 60g de glucides par heure environ, et nombreux sont les athlètes qui doivent rester en deçà ! Pensez donc déjà à ingurgiter peu à la fois (1 à 2 gorgées), mais souvent (toutes les 5 à 10 minutes), et régulièrement !   La suite dans un prochain article Jean Joyeux  

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Prévenir les blessures avec Zamst

La prévention des blessures concerne toutes les disciplines de la course à pied et débute bien avant la compétition… Nous parlons de prévention passive à travers le sommeil, la récupération, la diététique ainsi que l’échauffement, les étirements et le matériel. Mais nous savons que, malgré tous nos efforts, souvent la blessure est inévitable et fait partie de la vie des coureurs. Comment prévenir les blessures en course à pied? Notre partenaire ZAMST, spécialiste des  vous propose quelques astuces et explications de blessures les plus récurrentes chez les coureurs. En espérant que les conseils et les produits vont vous aider à garder le plaisir de la course à pied mais n’oubliez pas qu’il faut toujours consulter un médecin si vous vous inquiétez ! ENTORSE DE CHEVILLE : L’entorse de cheville est une atteinte du ligament latéral externe dans 90% des cas. Elle survient lors d’un mouvement forcé en inversion et parfois en éversion (10% des cas) Le saviez-vous ? L’entorse de cheville est la blessure la plus fréquente toute activité confondue. En effet, on en recense plus de 6000/jour, pour un coût de 2 millions d’euros/jour pour les organismes sociaux. Une entorse de cheville non ou mal rééduquée aura 2 fois plus de chance de récidiver lors de la reprise de l’activité sportive Astuces de prévention : La prévention active qui reste bien entendu la base : renforcement de la cheville et travail proprioceptif. Reprise d’Entrainement : Il est fortement conseillé de porter une chevillière dynamique adaptée au sport pour limiter ce risque. Nous vous conseillons la Filmista, alliant légèreté (33g), finesse, confort, tout en offrant une efficacité constante contre l’inversion du pied, elle bouge avec votre cheville et active votre proprioception (réflexes naturels). Elle présente pour le coureur une très bonne alternative au strapping. TENDINOPATHIE D’ACHILLE : Les causes de cette pathologie peuvent être très différentes : Chocs à répétition, chaussures non adaptées, surentrainement, manqué d’échauffement, mauvaise technique, hydration insuffisante ou bien des raisons morphologiques. La majorité des personnes qui souffre de cette pathologie sont celles qui sont pronatrice.La blessure peut être très douloureuse. La douleur peut disparaitre au début de la séance quand le tendon est échauffé mais elle revient vite et empêche le coureur de continuer. Astuces de prévention : Les priorités sont : repos, glaçage, et un traitement de Kiné ou podologue. Reprise d’Entrainement : Grâce à un système de sanglage type strapping, l’AT-1 permet une bascule du talon vers l’arrière et vers le haut afin de limiter les tensions sur le tendon d’Achille. Il peut ainsi travailler dans une course indolore, et glisser dans les meilleures conditions. Les 2 rembourrages placés de part et d’autre du tendon le compriment, absorbant chocs et vibrations. La douleur est soulagée et la cheville maintenue. PERIOSTITE TIBIALE: Comment identifier la douleur? La périostite est une inflammation du périoste (membrane située à la surface de l’os), due à l’effet combiné d’une traction exercée par le muscle et d’une mauvaise diffusion des ondes de chocs générées à chaque foulée ou réception de saut. Elle est fréquente notamment dans la pratique de la course à pied et des sports de saut (athlétisme, sports collectifs, danse, tennis…). D’autres facteurs peuvent en être responsables : surcharge ou changement de type d’entraînement, chaussures inadaptées, type de terrain, morphologie… Elle fait partie du top 5 des blessures du coureur ! Astuces de prévention : repos, glaçage, changement de chaussures et terrain d’entrainement. Reprise d’Entrainement : L’utilisation de la SS1 convient en prévention et en traitement de la périostite. SS­1 soulage la douleur et absorbe les chocs et vibrations. Le rembourrage localisé le long du tibia limite les glissements responsables de l’inflammation. Il absorbe une grande partie des ondes de chocs, limitant ainsi la douleur de façon significative. Même en l’absence de douleur il est recommandé d’augmenter la durée des entraînements de manière progressive. SYNDROME De l’ESSUIE-GLACE : À chaque foulée, la partie basse du tenseur du fascia se déplace d’avant (lors de l’extension du genou) en arrière à la manière d’un essuie- glace, et vient dans certains cas accrocher au passage la crête du condyle fémoral externe. L’irritation due à ce conflit répété est à l’origine de ce syndrome de la bandelette ilio-tibiale. Le syndrome de l’essuie-glace est facilement reconnaissable :
La douleur, située sur le côté externe du genou, se déclenche après 15 minutes de course en général. Elle est tellement intense qu’elle force à s’arrêter rapidement. En revanche, elle cesse dès l’arrêt. Astuces de prévention : L’automassage de la bandelette illio-tibiale avec un foam-roller comme ‘Blackroll’ Reprise d’Entrainement : Pour une reprise en toute sécurité, nous vous conseillons La genouillère RK-1. Elle limite le frottement de la bandelette ilio-tibiale sur le côté externe du genou grâce à son strap en spirale, soulageant ainsi la douleur. Elle bénéficie d’une conception textile, ultra-légère et extrêmement confortable.

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Résultats du Cross ITEC Boisfleury

25 ème Anniversaire de cette épreuve incontournable du bassin grenoblois. Bravo à tous de votre soutien pour les enfants malades du CHU,les participants sont venus nombreux malgré le report de l’épreuve. Vous trouverez en dessous les résultats: Le 7 km Grand Public : cross_itec_2017_7-km-gd-public_2 Le 7 km Entreprises: cross_itec_2017_7-km-entreprise_2 Le 5 km Lycéens: cross_itec_2017_5km-lyceens_2      

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Fabien Antolinos met le cap sur la Transgrancanaria

On avait quitté Fabien après la Grande Course des Templiers où il avait terminé dans le top 15. A 2 semaines du départ de la Transgrancanaria, on fait le point sur ses envies, sa forme et sa saison 2017.   Fabien, comment vas tu depuis la Grande Course des Templiers? Ça peut aller… 😉 J’ai consacré très peu de temps à la course à pied depuis fin Octobre. Je me suis investi davantage dans le travail, le bricolage, l’entraînement des autres et la famille. J’avais besoin de souffler, de me reposer avant de repartir sur une nouvelle saison de trail et d’ultra.   Tu participes fin février aux 120km de la Transgrancanaria; comment abordes tu ce format si long en début de saison? L’idée de la Transgrancanaria c’était de mettre à profit ma connaissance de l’île de Gran Canarie (où j’ai effectué un stage trail en 2015), de gagner en expérience sur l’ultra en essayant de nouvelles façons de gérer les courses et de s »alimenter mais aussi de profiter du soleil en famille après un hiver très rigoureux. Il se trouve que mon état de forme est au plus bas actuellement, je ne suis qu’en reprise depuis deux semaines donc pas de pression si ce n’est de ne pas se faire mal…   Comment sera agencer la suite de ta saison? J’espère ensuite être en bonne forme pour le MIUT (Madeira Island Ultra Trail),  une superbe course sur laquelle j’ai une revanche à prendre. J’irai après courir au Lavaredo Ultra Trail pour gagner encore en expérience mais cette fois-ci sur un terrain plus roulant et dans un site grandiose (Les Dolomites) que je vais découvrir. Cet été je réaliserai une bonne préparation à La Rosière, notre partenaire montagne, pour arriver en bonne forme sur l’objectif de la saison : les Championnats de France de trail long (mi septembre).   Tu reviens sur des formats moins ultra cette année pourquoi ce choix? J’ai enchaîner trois éditions consécutives sur l’UTMB, me privant par la même occasion de participations aux championnats de France de trail. Je souhaite participer à nouveau car ce format de course plus nerveux me plait et j’espère encore être en mesure de jouer une qualification sur un Championnat du Monde. J’avais également besoin de couper avec l’UTMB tant ma déception a été importante en 2016. Je veux faire autre chose, prendre de l’expérience sur des distances ultras moins longues que 170 km et revenir plus fort en 2018.   Bonne saison !

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