A la une

Marathon du Mont Blanc, l’incroyable course de Thibaut Garrivier

Auteur d’une superbe 6ème place au scratch – 1er français lors du Marathon du Mont-Blanc (remporté par Kilian Jornet), Thibaut Garrivier, coureur du team Terre de running Lyon revient sur sa course et ses prochains objectifs. L’occasion de faire connaissance avec ce jeune talent. Thibaut, peux tu te présenter? J’ai 26 ans, je viens de Gap où j’étais au club de ski de fond. Je suis interne en médecine (radiologie) à Lyon depuis 3ans. Je fais principalement du trail et 2 à 3 triathlons par an depuis l’an passé. Tu réalises une superbe course au marathon du Mt Blanc avec un plateau international, comment s’est-elle déroulée? J’ai eu un petit accident de vélo il y a 3 semaines qui a contrarié ma préparation mais j’ai finalement pu prendre le départ. Dès le début j’ai senti que les jambes étaient (très) bonnes. Je suis parti avec le groupe de tête en essayant d’être moins frileux que l’an passé. Avant Vallorcine je décroche pour faire la course à mon rythme, sachant que je voulais monter les Posettes à 80% pour pouvoir finir les 15 derniers kilomètres assez fort comme j’aime le faire. J’arrive bien à m’alimenter, il fait 20 degrès de moins qu’à Lyon ces derniers jours, toutes les conditions sont réunies pour moi. Les jambes répondent de mieux en mieux et je reprends Tom Owens, Tony Moulai dans la montée de la Flégère puis Sage Canady. Dans la dernière montée j’entends tout le monde encourager Thibaut Baronian, je pousse au maximum et reviens sur lui dans les derniers hectomètres pour finir 6ème et 1er français…néanmoins assez loin des 5 premiers mais très satisfait ! Au final une course d’attente, ou plutôt « à ma main » comme je les aime qui manque peut être un peu de panache, mais surtout un peu de confiance au départ vu la start list…! T’attendais-tu à ce résultat? Clairement je ne m’attendais pas du tout à cette place. J’avais plutôt un objectif de temps, je voulais faire mieux que l’an passé (4h06 pour 4h16 au final) en partant un peu plus vite mais je n’étais sûr de rien vu mon faible entrainement ce dernier mois au sortir de l’Half Ironman d’Aix en Provence. Je pensais rentrer plutôt aux alentours de la 20e place. D’autant qu’avec l’internat l’entrainement est toujours compliqué…Je mise plutôt sur des blocs de volume le week end. Quels sont tes autres objectifs de la saison? Les objectifs à venir : 2e étape du skyrunning france avec la Skyrace du Chaberton le 15juillet, enchainé le 27 juillet avec le triathlon longue distance de l’Alpe d’Huez. Ensuite 3e étape skyrunning au marathon du Montcalm au retour de vacances mi-août, puis l’OCC fin août. Ensuite je vais voir si je peux participer aux Chpampionnats de France de trail, puis la finale du skyrunning à la Skyrhune. En extra peut-être les Templiers si je peux me libérer le WE et/ou la Saintélyon pour préparer une probable saison d’ultra l’an prochain.   Principaux Résultats : 2016: 3e général TTN court, Victoire LUT by night, Saintexpress, 8e marathon Mont Blanc, 32e de l’Embrunman. 2017: 6ème du marathon du Mont-Blanc, 3e Trail des Cabornis, victoire aux 6h de Méribel, 4ème de la Skyrace des Matheysins, 21e (victoire groupe d’âge) de l’Half Ironman Aix en provence

Lire la suite »

Chaleur et entraînement : alerte canicule !

La chaleur est là, et les conseils se multiplient pour ne pas rompre la continuité de la pratique sportive. Partir tôt le matin, tard le soir (moins convaincant), courir la nuit, aller courir sur un tapis en salle climatisée, s’habiller moins, boire plus, prendre des douches froides, tièdes, chaudes, boire du thé à la menthe, manger des sorbets ou encore investir dans une casquette avec ventilateur intégré… On a bien des chances de lire de tout, et pas forcément des conseils très avisés. Vue sous l’angle de la nutrition, on peut sans doute apporter quelques éléments de réponse. Ce que provoque la chaleur En cas de chaleur, on le remarque facilement quand on a la mauvaise idée de partir courir trop tard, le seuil de la fatigue est notoirement abaissé. En effet, la « machine » entre littéralement en « surchauffe », et ne parvient pas à maintenir le même niveau de performance. A vitesse équivalente, la fréquence cardiaque augmente très nettement, et l’intensité perçue est plus élevée. C’est déjà une raison suffisante pour réduire sa vitesse, et donc éviter les séances difficiles dans ces horaires. Le moyen de thermorégulation le plus efficace se met rapidement en route : la transpiration. En effet, l’évaporation de l’eau à la surface de la peau permet de provoquer une perte de chaleur, contribuant à prévenir l’hyperthermie. Donc tout naturellement, les pertes hydriques augmentent… et doivent être compensées. L’hyperthermie, un danger On pense beaucoup à la déshydratation, sujet crucial pour le coureur de longue durée, qui devient encore plus important dans les périodes de chaleur. Mais le danger sous-jacent est celui de l’hyperthermie, qui est en mesure de vous mettre gravement en danger. En effet, si l’organisme fait tout son possible pour rester à la fatidique température de 37,2°C, c’est parce que c’est la température à laquelle ses enzymes fonctionnent le mieux. Au delà, les fonctions de production énergétique, la livraison de l’oxygène, les synthèses, la neurotransmission, tout est perturbé. C’est ce qui explique pourquoi un état de fièvre important (l’hyperthermie commence à 38,5°C) peut provoquer des troubles comportementaux ou des symptômes neurologiques graves. Ainsi un coureur en hyperthermie peut se mettre à délirer, halluciner, et adopter un comportement dangereux pour lui, voire pour les autres. La déshydratation apparaîtra dans un temps plus long que l’hyperthermie, et ne sera pas exempte de dangers, moins immédiats, mais tout aussi importants. Les effets de la déshydratation De la même manière que la température doit être constante pour garantir le bon déroulement des fonctions biologiques, il faut un taux d’hydratation précis pour faire tourner les complexes rouages cellulaires. Le manque d’eau fait changer les conditions physiques et chimiques dans nos tissus et nos cellules, réduisant ainsi leurs capacités fonctionnelles. Cela peut se traduire par une perte d’efficacité de l’effort, une sensation de fatigue exagérée alors qu’on n’a pas de raison d’être en hypoglycémie, et l’impression d’être incapable de se réhydrater, ou d’avaler quoi que ce soit. La perte d’eau augmente la viscosité du sang, réduisant la qualité de l’oxygénation cellulaire, et diminue le volume sanguin, ce qui réduit la pression artérielle. En réponse, la fréquence cardiaque augmente pour compenser le manque. L’oxygénation étant orientée vers les muscles pendant l’effort, l’intestin déjà pénalisé subit encore plus la dure loi de l’effort. C’est ce qui explique pourquoi la déshydratation déclenche un cercle vicieux qui aboutit à l’incapacité à manger ou à boire au bout de quelques heures de course. Moralité : à cause de la déshydratation, tout le monde trinque (pas mal celle là, je devrais la prêter à Yohann). S’adapter à la chaleur…? Pour commencer, il faut savoir que l’organisme a la possibilité de s’adapter à la chaleur, donc vivre trop cloîtré sous la clim n’est pas une solution viable si vous aimez la nature. Par contre, outre le choix de courir de nuit ou tôt le matin, à l’ombre, ou sous la pluie (vous risquez d’attendre un peu), il y a la possibilité de s’hydrater par plusieurs biais. Quand on dit s’hydrater, on pense à l’eau, mais on ne doit pas oublier les minéraux et oligoéléments, connus aussi sous le doux appellatif d’électrolytes, qui accompagnent toujours l’eau, aussi bien quand on la boit que quand on l’élimine. Donc si on perd de l’eau par la transpiration, on provoque des pertes de ces précieux électrolytes, au risque de pénaliser un peu plus les fonctions cellulaires, et de mettre en danger bien plus que la performance. S’hydrater, pas qu’à l’eau Donc pour passer à la pratique, plusieurs solutions doivent être choisies, chacune nous aidant un peu à affronter le réchauffement climatique : Premièrement boire une quantité suffisante d’eau, pas forcément glacée, et tout au long de la journée. Attention à ne pas tomber dans l’excès d’eau, car boire de l’eau pure ne permet pas de remplacer les électrolytes perdus par voie urinaire ou sudorale. Au contraire, on risque de provoquer une hyponatrémie (manque de sodium, dont le rôle est de maintenir l’eau dans les liquides corporels). Pour information, chaque année, des personnes âgées décèdent en buvant trop d’eau, et on a de nombreux exemples d’athlètes qui ont fini leur carrière et leurs jours sur une route surchauffée de la même façon. A l’effort : une boisson d’effort s’impose, mais en version hypotonique. C’est à dire que l’on va veiller à mettre moins de poudre (jusqu’à moitié moins de ce qui est indiqué par le fabriquant, rarement plus) pour la même quantité d’eau. Comme nous avons eu l’occasion de le dire dans les articles précédents, la présence de glucides et d’électrolytes améliore l’absorption de l’eau par l’intestin, ne nous en passons pas ! Une boisson hypotonique sera plus digeste, et plus à même de compenser le manque d’eau sans vous écoeurer. A l’effort toujours : on veillera à boire un peu plus que d’habitude, sachant que la quantité de 300 ml par heure ne peut convenir par forte chaleur qu’à de très petits gabarits… et encore. Considérez que l’on peut aller jusqu’à 1litre par heure de boisson pour certains,

Lire la suite »

Aurélia Truel arpente les routes du Raid Napoléon

La « traileuse » (voir son portrait) revient à ses premières amours sur route avec une première expérience sur le Raid Napoléon, une course à étapes de Lyon à Golf Juan. Engagée avec une équipe de chefs d’entreprise de l’AG2R la mondiale et CPME, Aurélia a profité de cette épreuve pour « borner » et accumuler des km sur route en vue de valider une prochaine participation sur un 100km. On revient avec elle sur ce format atypique. Aurélia, comment s’est passée cette semaine sur le Raid? Plutôt bien! Je voulais accumuler de la distance sur route, j’ai été servie! les premiers jours ont été durs avec la chaleur et le cumul des épreuves mais au plus la semaine avançait au mieux j’étais. Le cors s’adapte bien mais il fallait être prudent notamment sur la gestion des ravitos, de l’hydratation, de la récup… Au final je termine avec plus de 160km dans les jambes donc je suis plutôt satisfaite. j’ai pu aussi apporter mon expérience et des conseils à mes co-équipiers qui, avec leur détermination, motivation et envie sont venus à bout de cette folle semaine alors que la plupart d’entre eux ne courent que 2 fois/semaine.   Et côté ambiance? C’était super! Une très bonne ambiance déjà au sein de l’équipe malgré le fait que personne ne se connaissait mais. Mais également au sein de l’organisation avec les motards, les chauffeurs, les bénévoles. tout le monde s’implique pour offrir une prestation impeccable. C’est un peu l’ambiance tour de france, il y a beaucoup de convivialité même si on reste compétitif durant les étapes. Le parcours est aussi très beau donc on prend du plaisir avec les paysages. Peux tu nous en dire plus sur ton objectif de 100Km? J’ai participé à un 60km en Ardèche en mai pour valider la distance. L’objectif du raid était donc de pouvoir cumuler les km sur une semaine en gérant mon rythme. J’aurais pour objectif un 100Km en septembre au Pays-Bas en visant d’environ 8h15 ce qui me permettrait de viser une qualification. Je me préparerais en conséquence cet été en participant notamment à la classique « Marvejols-Mende » puis j’irais en stage à Font-Romeu. En fonction de la récup je participerais aux Templiers puis à la Saintélyon en relais.

Lire la suite »

Raid Napoléon, embarquez avec le capitaine !

Relancé depuis 2 ans, le Raid Napoléon est une course par étape (cette année de Chaponnay à Golf Juan) Jérôme Finot, membre du team TDR Lyon a participé à l’épreuve sous les couleurs de l’association Docteur Clown (qui vient en aide aux enfants malades). Après son expérience l’an dernier en tant que coureur, c’est sous la casquette de capitaine que Jérôme a pris part à cette édition 2017. L’occasion d’en savoir plus sur cette expérience.   Jérôme quel était ton rôle? D’abord il y a eu tout un travail d’analyse du parcours et du profil des coureurs pour pouvoir « positionner » l’ordre de passage car une fois établi on ne peut le changer. Nous souhaitions pallier les petites faiblesses de l’équipe en composant avec les profils plus solides. Au final on s’en sort bien avec une 5ème place au général…! Ensuite il y a différents rôles tout au long de l’épreuve: il y a une grosse partie en lien avec l’organisation pour faire le point le matin avant les épreuves, prendre les consigne,s les redispatcher auprès des coureurs, faire respecter les consignes liées à la logistique, au stationnement…et bien sûr un rôle en relation avec les coureurs qui doivent juste penser à courir et être prêt pour leur relais (encouragements, gestion des ravitos, assistance..). Comment a pu te servir ton expérience de l’an dernier? En ayant participé en tout que coureur, je savais à quoi m’attendre et j’ai pu appréhender mon rôle de capitaine sereinement. C’est vraiment une approche centrée sur la gestion. Par exemple la particularité cette année était que les équipes comptaient 5 coureurs au lieu de 7  ce qui amène les coureurs à plus courir (voire à doubler certains jours)..il faut être vigilant sur les récup’ car les risques de blessures sont là. Certains ont couru près de 140km au total. On était plus sur des profils de marathoniens 😉 A refaire? Bien sur! D’abord pour l’ambiance à la fois au sein de l’équipe mais aussi sur le raid en général avec les 13 autres équipes. Il y  a de la rivalité liée aux épreuves sportives mais aussi une belle solidarité et une vraie cohésion. Je suis ravi d’avoir vu les 2 aspects mais si je le referais ce serait en courant 🙂 Le fait de courir aussi pour une association rend le défi intéressant et valorise les acteurs qui s’engagent.. chapeau d’ailleurs aux clowns présents à nos côtés.

Lire la suite »

On a testé les lunettes R2

Dès que les premiers rayons de soleil pointent il faut penser à protéger sa vue y compris et surtout en sport. Julia a eu l’occasion de pouvoir tester les lunettes de soleil R2 distribuées par Outdoor Factor. Voici ses retours: « C’est à l’occasion d’un séjour dans le sud (où le soleil a tendance à piquer les yeux) que j’ai testé les lunettes R2 Cheeath. Consciente du fait qu’en montagne ou sur certains terrains nature (ou selon les conditions), il est nécessaire de porter des lunettes, je ne le fait pas car cela n’est pas forcément confortable. Je profite donc de ce test pour casser mes habitudes. Des lunettes qui se font oublier Pour m’habituer, je décide donc de porter une première fois les lunettes sans pratique sportive… Je suis déjà agréablement surprise par le confort : les différentes zones de contact ne blessent pas, les verres « n’appuient » pas et les lunettes sont plutôt légères. Les verres de catégories 3 protègent plutôt bien. Ensuite vient le temps des tests « terrains » : En vélo : les yeux sont bien protégés, il n’y a pas d’espace pour que les poussières et être objets volants viennent se glisser insidieusement… En course à pied : j’ai testé en séance de fractionné, lors de footing long avec et sans dénivelé, également lors de sorties plus cool et de randonnées. Même par grosse chaleur et avec la transpiration, pas de buée qui se dégage et les lunettes restent bien en place. La protection est assurée quelques soit la luminosité. Rapport qualité – prix : 39,39€, difficile de faire mieux !     Un test donc positif, difficile d’ailleurs de se passer des lunettes une fois que l’habitude a été prise 🙂  » Nos conseils : Veillez à ce que les lunettes soient adaptées à votre morphologie et à votre pratique. N’hésitez pas à demander conseils en magasins spécialisés.

Lire la suite »

Pourquoi essayer la gourde à la main quickshot Nathan?!

Très tendance Outre-Atlantique même sur des épreuves d’Ultra Trail, courir avec une gourde à la main est une habitude que nous commençons seulement à découvrir en Europe. Pourquoi essayer la gourde à la main quickshot Nathan?! Voici 5 bonnes raisons d’adopter cette solution d’hydratation. Cela évite de courir avec une ceinture et permet donc d’alléger le centre de gravité. Le fait que le poids soit vers l’avant cela facilite l’adoption d’une posture plus efficace. 2. Un gain de temps au moment de boire, car la boisson est à bout de bras. Il n’est donc pas nécessaire d’aller chercher la flask dans le dos ou de défaire la paille de la poche à eau. L’action de s’hydrater se fait dans le mouvement. 3. La facilité de recharger le contenant au moment du ravitaillement. 4. La gourde quickshot plus contient 300ml d’eau. En embarquant une gourde à chaque main, il est possible de varier la boisson. Par exemple, une gourde avec du glucose, l’autre avec de l’eau nature. 5. A portée de main et toujours dans le champ de vision, il est plus facile de contrôler le volume de boisson restant Courir avec une « quickshot plus » Nathan a ses avantages surtout dans le cadre d’une sortie courte à moyenne avec la possibilité de se ravitailler. C’est juste une habitude à prendre.   Découvrez la gamme NATHAN  

Lire la suite »
test VMA décines

Évaluez votre vitesse avec TDR Décines

A quelle vitesse courrez-vous? C’est l’occasion de le savoir en passant un test VMA organisé par votre magasin Terre de running Décines, en partenariat avec le club d’athlétisme du DMA et de Fabien Antolinos, athlète du team trail Terre de running Mizuno. Un test VMA pour quoi faire? Le test VMA vous permet d’évaluer votre vitesse avant d’entamer un cycle d’entrainement, pendant  une phase d’entrainement afin de réajuster vos séances si besoin ou au terme d’un cycle pour évaluer votre progression quelque soit votre pratique (trail, route, triathlon…) Le test VMA proposé le 27 juin sera par VAMEVAL Adapté : Augmentation de 0.5km/h toutes les minutes, départ à 8km/h   Animé par Fabien Antolinos L’athlète et traileur Fabien Antolinos encadrera cette séance et vous fera part de toute son expérience et de ses précieux conseils. Fabien a notamment été plusieurs fois sélectionné en équipe de France de trail (champion du monde par équipe), a terminé 5ème de l’UTMB, a remporté les Templiers… Pour autant, il maintient des séances d’entrainement sur piste pour entretenir sa vitesse net participe régulièrement au cross. Fabien est également professeur de sport et coach au club du DMA.   INFOS PRATIQUES Le test aura lieu le mardi 27 juin Lieu : Piste d’athlétisme du parc Raymond Troussier à Décines Deux sessions : –          19h30 rdv au magasin à 19h –          20h rdv sur la piste directement à 19h30 Places limitées à 25 places par session Réservation par téléphone au 04.78.89.95.54 ou par mail : decines@terrederunning.com en précisant l’heure de la session Suivez l’actu du magasin sur facebook Terre de running Décines

Lire la suite »

Fleurianne, adepte des samedis du jogging

Fleuriane, participante assidue des Samedis du jogging et des testings du jeudi soir au magasin de Lyon est une jeune étudiante en droit de 27 ans, ancienne nageuse de bon niveau (15 années de pratique et maître nageur), originaire de Saône et Loire. Elle va nous parler de ses débuts plus que prometteurs dans la course à pied et nous faire partager sa passion du running. Comment es-tu arrivée à la pratique de la course à pied ? Pratiquant la natation en club pendant une dizaine d’année j’ai toujours complété mes entraînements par du footing, que ce soit à l’école ou en loisir, sans objectif particulier. Tu es plutôt route ou trail ? Venant de Saône et Loire, j’ai toujours eu un gros penchant pour le Trail, qui s’est accentué au fil des années. Actuellement combien d’entraînements fais-tu par semaine ? Je cours entre 4 à 5 fois par semaine depuis 3 mois. Qu’est-ce qui a fait basculer ta pratique de runneuse occasionnelle à runneuse régulière ? Etant aussi adepte de sport de glisse, je cherchais un sac de ski pour la fin de la saison et je me suis rendue un peu par hasard dans un magasin de sport près de chez moi (Terre de Running Lyon). Après un échange avec l’un des vendeurs j’ai appris l’existence d’entraînements et de testings produits gratuits. Je me suis donc dit qu’au lieu de courir seule sur les quais, (entrainement assez répétitif et un peu lassant pour une adepte des grands espaces verts) je pourrais peut être rencontrer un groupe de runners sympathiques et pouvoir bénéficier d’un coach pour progresser. Je me suis donc rendu un jeudi soir au testing brooks et nous avons fais un run sympa dans certains spots que je ne connaissais pas sur la colline de Fourvière, avec des petits exercices spécifiques et un groupe très accueillant, solidaire et chaleureux. Suite à cela j’ai pris la décision de m’inscrire pour le Lyon Urban Trail en format 8 km. Qu’est-ce qui te fait vibrer dans ta vie de runner ? Depuis que je me suis mise réellement à la course a pied, je compare souvent ça à une forme de drogue positive. Je me lève running, je discute running avec mes amis, je mange running ( le pot de glace de 500 ml ça compte ?), j’ai réappris à me faire mal pour dépasser mes limites. Quels sont tes plus beaux souvenirs de courses ? Pour le moment je n’ai participé qu’à une seule course donc je dirais le Lyon Urban Trail malgré des conditions assez difficile (pluie et vent) j’ai pris beaucoup de plaisir. La course s’est plutôt bien passée, j’ai accroché une 170ieme place au scratch et une 11ième place dans ma catégorie. Je me suis donc dis pourquoi pas s’entrainer sérieusement pour encore gagner quelques places qui sait ? Quels sont tes objectifs pour les semaines et mois à venir ? Je serais à l’Ultra boucle de la Sarra en format 6h relais à 3 (résultats : 7ieme relais féminin avec Maud et Lucie de Sport and run), puis le 11 Juin le Trail de la fontaine les ânes (18 km) et pour finir le 26 juin le Trail de Volvic (40 km). Qu’est-ce qu’un bon entraînement pour toi ? Sportivement tout d’abord, repousser mes limites, être bien accompagnée et pouvoir se laisser guider pour se concentrer sur ses sensations. Mais avant tout se faire plaisir, c’est le plus important. Peux-tu nous présenter et nous expliquer le fonctionnement des samedis du jogging ? Les samedis du jogging c’est une sortie qui part du magasin Terre de Running à Bellecour avec un petit groupe de runners de tout âge, tout niveau qui viennent faire une séance conviviale, soit des fractionnés soit du travail de montée/descente sans pression ni compétition pour une durée d’une heure.   Terre de running Lyon : 7 rue de la barre Suivez les actu du magasin sur Facebook Terre de running Lyon

Lire la suite »
Manu David Team terre de running

Manu David en route pour le mondial de trail

  Emmanuel David, coureur du team Terre de running – Mizuno participe samedi aux Championnats du Monde de trail en Italie* sur un format de 50km. A quelques jours du départ, c’est l’occasion de prendre le pouls de l’athlète ! Comment s’est passé le stage avec l’équipe de France de trail? Le stage s’est bien déroulé. Nous avons reçu un accueil des plus chaleureux du côté de Mandailles à proximité du Grand Site du Puy Mary dans le Cantal. Les conditions d’entraînement étaient top là-bas pour le trail. L’ambiance était très sympathique et conviviale au sein de l’équipe de France. Et sportivement, c’est toujours au contact des meilleurs que l’on progresse! Cela m’a permis de faire une belle semaine d’entraînement.   Tu es qualifié à titre individuel pour ces mondiaux, que vises-tu? Ce n’est pas facile d’estimer ce que je peux faire car je ne connais pas trop le contexte mondial. Ce qui est sûr, c’est que les Français seront costauds. Ma côte ITRA me place en 24ème position des coureurs engagés…. Peut-être un top 20 pour ma part? En tout je donnerais mon max avec un objectif de prendre du plaisir et d’en profiter. Comment appréhendes tu ce mondial ? Je n’ai pas de stress particulier. Même si c’est ma première sélection en trail, j’ai déjà porté le maillot de la France à l’occasion du marathon des Jeux de la Francophonie. Je vais m’appuyer sur cette expérience. La forme a l’air plutôt bonne. Les dernières sorties sont encourageantes pour réaliser une belle performance en Italie! Je n’ai vraiment rien à perdre et c’est une belle opportunité qui se présente donc j’espère saisir ma chance du mieux possible! Le format est plus court que les années passées avec 49kms. Le parcours n’est pas globalement très technique ce qui peut m’avantager mais il y aura quand même 2700m de dénivelé positif donc prudence. J’en profite au passage pour remercier toutes les personnes qui m’ont permis d’en arriver là.   Tout savoir sur « Manu » David – la page facebook du team terre de running *suivi de la course sur Trails Endurance Mag

Lire la suite »

Test concluant des chaussures Veets

On retrouve le retour d’expérience de Nicolas, team Terre de running Antony qui a testé les chaussures de la marque VEETS. « VEETS (abréviation de Vendée Technical Shoes) est une nouvelle marque de chaussures 100% française. Il fait bien plaisir de voir qu’en France, on sait aussi inventer, créer, croire qu’on peut réussir dans ce monde bien garni qu’est le Running. C’est un joli pari courageux de lancer sa propre marque. Alors je veux y croire ! C’est évidement grâce à mon ami Arnaud gérant du magasin Terre de Running d’Antony que je vais essayer et tester la paire de chaussures Veets transition 1.0. Il me connait bien et sait qu’elles vont me plaire à coup sur !! C’est lors d’un week-end choc d’entrainement effectué dans les Vosges, que j’ai pu les essayer. Quoi de mieux pour un test running que les sentiers magnifiques de cette belle région !! Je me suis donc prévu une petite sortie d’1h30 dans les hauteurs de Plainfaing (petit village Vosgien où il fait bon de courir) Le parcours sera mi-route mi-chemin, peu technique et avec un peu de déniv (+400m pour 15km). C’est tout a fait le genre de terrain que j’affectionne. J’ai hâte de voir comment les Veets vont réagir. Confort, sécurité et maintien Une fois enfilées, déjà au premier coup d’œil. Elles ont le style..et ça c’est déjà une bonne chose 😉 Pour le test, J’ai choisi la taille 45. Des les premiers hectomètres sur la route, mon pied a trouvé sa place. Ayant le pied fin, je me sens bien maintenu sur l’avant de la chaussure et chose plutôt surprenante il y a un super maintien cheville. Ce qui est plutôt rassurant pour ma sortie, car il y aura quelques descentes de sentiers. Je suis un coureur universel avec une attaque avant pied. J’ai pour habitude de courir avec des chaussures légères et avec peu d’amorti. Avec un drop de 7 et un poids de 270g, dès les premiers hectomètres, je me sens aérien et chose assez nouvelle pour moi, je me sens confort. On ressent très bien l’ambition de Veets d’allier le confort et dynamisme. En « sécurité » grâce au maintien de ma cheville, je n’ai aucune crainte à accélérer sur les portions devenu un peu plus accidentées. La semelle résistante et « accrocheuse » me procure une sensation agréable au contact du sol, qui me pousse à mieux courir. A courir léger. Alors je déroule en descente tel un lynx des Vosges ! Apres 1h30 sous un soleil de plomb, pas de douleur ou d’inconfort à signaler. A la recherche d’une paire de chaussures mixtes voire d’une paire de chaussures dite « confort » pour le triathlon de l’Alpes d’Huez., je me dis que j’ai peut être trouvé LA bonne chaussure. De plus je me verrais bien préparer un marathon pour la fin de saison, (marathon de Reims), et je me dis que courir avec les transitions 1.0 me permettrait de me préparer sereinement sans blessure. J’attends d’ailleurs avec impatience une version type trail. Je suis persuadé que Veets saura me faire vibrer sur des terrains plus techniques et escarpés. » Retrouvez le test en vidéo :     La marque Veets est disponible dans les magasins Terre de running de Lyon, Puteaux, Antony et Toulon.

Lire la suite »